Le chemin de Compostelle de Villards d’Héria à Santiago de Compostela

Première étape du Chemin de Compostelle. Cette première étape au départ de Villards-d'Héria vous fait prendre de la hauteur avec une superbe vue sur le Lac du Coiselet et en finalité un pic et un château qui valent vraiment le détour. En effet, le Pic d'Oliferne domine la Vallée de l'Ain de presque 500 m et offre une belle vue notamment sur la Haute-Chaîne du Jura.

Deuxième étape du Chemin de Compostelle. Parcours avec de beaux points de vue sur le Lac du Coiselet et le Lac de Conflans, qui nous fait parcourir quelques petits hameaux et traverser des sous-bois.

Troisième étape du Chemin de Compostelle. Une étape agréable avec un peu de dénivelé, des parties ombragées et des portions goudronnées et sur des sentiers de terre.

Quatrième étape du Chemin de Compostelle. Une étape effectuée dans des paysages vallonnés et variés entre vignes, prairies et bois au départ de Neuville-sur-Ain avec traversée de jolis villages et petites villes avec, pour finir, une très belle vue sur le Château des Allymes et la plaine d'Ambérieu.

Cinquième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape un peu longue vous fait traverser le Rhône au niveau du Lagnieu. Moins d’intérêt sur la suite du parcours et surtout trop de goudron mais pas moyen de faire autrement pour rattraper le GR®65.

Sixième étape du Chemin de Compostelle. Un parcours aux paysages changeants entre plaine lyonnaise et chaîne des Alpes, avec des clins d’œil à la chaîne des Alpes.

Septième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape se déroule essentiellement à découvert avec peu de dénivelé. Vous marchez le long des buttes et bosquets de la partie orientale de la plaine du Liers. Par-ci, par-là, vous aurez quelques vues sur les collines et sommets environnants.

Huitème étape d'Est en Ouest du Chemin de Compostelle. Vous êtes maintenant sur la Via Gebennensis, - GR®65 ou "route du Puy", qui est l'itinéraire sans doute le mieux connu car au plus près de la réalité historique pour se rendre à Compostelle.
Pour cette 8^e étape, vous cheminez essentiellement entre champs et forêts, ponctués par une forte identité culturelle à la Côte Saint-André et également sur les communes telles Ornacieux ou Balbins avec la Chapelle Saint-Michel qui offre une panorama grandiose à 360°.

Neuvième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape vous permet de poursuivre la traversée de la campagne d’Isère. Entre petites routes campagnardes et sentiers boisées, le chemin offre de jolis paysages ouverts avec le massif central et les Alpes en arrière plan. Côté patrimoine, la chapelle de la Salette, le monastère de Surieu et la traversée de la ligne à grande vitesse entre Paris, Lyon et Marseille ponctuent le parcours.

Dixième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape vous mènera jusqu’à Chavanay sur les berges du Rhône. Dernière étape avant le Massif-Central, l’itinéraire propose plusieurs variantes entre le GR^® et les chemins balisés par les associations Jacquaires. Restez bien sur le GR^®65 pour éviter d'être détourné inutilement. Ce n'est peut être pas la partie la plus agréable du chemin mais certains passages comme Condrieu valent le détour.

Onzième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape est la première du Massif-Central et traverse le Parc Naturel Régional du Pilat. Sur les contreforts de la vallée du Rhône, elle vous permet de prendre de la hauteur.

Douzième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape mène jusqu’à la ligne de partage des eaux entre Atlantique et Méditerranée, au point de bascule entre les derniers contreforts de la vallée du Rhône et des plateaux volcaniques du Velay. Au départ de Bourg-Argental, vous suivrez la Via Fluvia sur plusieurs kilomètres pour entamer la montée jusqu’au Col du Tracol à travers la forêt de Taillard.

Treizième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape entame la longue descente vers Le Puy-en-Velay. Après avoir traversé le Pilat et le Vivarais, c’est désormais le Velay qui vous accompagnera pour les prochaines étapes. Ce parcours d’un peu plus de 25 km est un éloge à la nature tant dans l’ambiance que dans les paysages.

Quatorzième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape assez courte (à cause du temps maussade et neigeux), apparaît comme une longue et continuelle montée, jusqu'à atteindre le lieu-dit Raffy, dans les forêts de Meygal, à une altitude supérieure à 1290 m et qui constitue le point culminant de ce parcours. Petite halte à Saint-Jeures, petite commune avec une belle église romane du XIIe siècle, située à une courte distance du Pic du Lizieux (1388 m), bien visible depuis longtemps avant d'arriver à la ville.

Quinzième étape du Chemin de Compostelle. En plein cœur du Meygal, Queyrières, village département de la Haute-Loire, se dresse aux côtés de son rocher basaltique. De là, vous entamez la descente vers le Puy-en-Velay en passant par Saint-Julien-Chapteuil et ses moulins qui bordaient autrefois la Sumène. Une fin de parcours en douceur avec une arrivée tranquille pour arriver au Puy-en-Velay, haut-lieu de pèlerinage.

Le Puy-en-Velay est un carrefour pour plusieurs chemins de Grande Randonnée tels que le GR^®70, le Chemin de Stevenson, le GR^®3 Sentier de la Loire, le GR^®700, Chemin de Regordane et bien sûr, le Chemin de Compostelle. À peine arrivé au Puy-en-Velay, on devine déjà le poids important qu’a pu avoir la religion sur la ville.
Le Puy-en-Velay c'est ma première journée de repos après 15 jours de marche sur mon Chemin de Compostelle
J'ai découvert une ville d’Art et d’Histoire, célèbre pour sa dentelle, ses lentilles vertes, sa verveine, mais surtout pour son patrimoine religieux incroyable.

Seizième étape du Chemin de Compostelle. Du Puy-en-Velay jusqu’au village pittoresque de Saint-Privat-d’Allier, n’oubliez pas de vous retourner pour admirer la vue sur la cité mariale. Arrivé à Saint-Privat-d’Allier, vous surplomberez les impressionnantes Gorges de l’Allier et sa rivière encore sauvage.
La traversée du Velay et ses champs de lentilles, ainsi que la chaîne du Devès est au programme de cette étape.

Cette dix-septième étape de « montagne » avec un dénivelé important et la découverte du village de Monistrol-d’Allier ainsi que de la Chapelle troglodyte de la Madeleine qui sont des passages incontournables avant d’arriver à Saugues.

Au cours de cette 18e étape du Chemin de Compostelle, vous traversez un paysage sauvage, poétique et sportif avec la traversée du plateau de la Margeride et du Gévaudan. Vous y apercevrez des chaos rocheux, disséminés çà et là au gré du hasard et du temps, promettant un parcours surprenant où il fait bon reconnecter.

Dix-neuvième étape du Chemin de Compostelle. Cette dernière étape en Margeride avant de traverser l’Aubrac est assez courte et permet de récupérer des étapes précédentes en visitant la jolie ville d'Aumont-Aubrac.
Vous traversez un pays de ruisseaux, de plantes de montagnes avec des paysages magnifiques !

Vingtième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, quittez la Margeride pour l’Aubrac. Vous vous apercevez que vous êtes en Aubrac quand il n’y a plus d'arbres et c'est carrément splendide! Les couleurs, les paysages, les vaches, le silence, le ciel, les pierres. Vous vous sentirez tout petit face à l’immensité de la nature.

Vingt-et-unième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette courte étape toute en descente, vous quittez le plateau de l'Aubrac pour rejoindre Saint-Chély-d’Aubrac niché au cœur de la vallée creusée par la Boralde, à mi-chemin entre le plateau de l’Aubrac et la vallée du Lot.

Vingt deuxième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, toute en descente, vous quittez le plateau de l'Aubrac pour rejoindre en Aveyron, sur les rives du Lot, en passant par le village de Saint Côme d’Olt, classé Plus Beaux Villages de France, qui a su conserver son caractère au fil des siècles. Vous arrivez dans La ville d'Espalion qui s'est développée sur les rives du Lot et pourrez remarquer sur les coteaux les anciennes terrasses autrefois plantées de vignes et arbres fruitiers.

Vingt troisième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape traverse les territoires de cinq communes aveyronnaises. Le paysage y est le plus souvent rural et naturel, traversant parfois des bois et des bosquets. L’itinéraire est également jalonné de plusieurs éléments patrimoniaux dignes d’intérêt comme le village d'Estaing son pont et son château dominant pour rejoindre le plateau de Golinhac qui offre des paysages de moyenne montagne

Vingt quatrième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous quittez le plateau de Golinhac qui offre des paysages de moyenne montagne puis après avoir traversé plusieurs villages nichés dans un véritable écrin de verdure vous traversez Senergues, village ancien, ancré sur un éperon granitique pour continuer sur un chemin ponctuée par des édifices remarquables et des paysages somptueux avant d'arriver à Conques-en-Rouergues et son abbatiale chargée d’histoire.

Vingt cinquième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape difficile, au départ de Conques, vous emmène à Livinhac-le-Haut en passant par Decazeville, sur un chemin qui porte le nom de «Lou Camin Conquet». Après une longues ascension au départ, vous découvrirez ensuite des paysages pittoresques et variés ainsi qu’une architecture diversifiée.

Vingt sixème étape du Chemin de Compostelle. Les jours passent, les kilomètres défilent et les paysages changent.. Après quelques kilomètres au départ de Livinhac-le-Haut, vous entrez dans le département du Lot avec des paysages nouveaux et diversifiés et cette impression d’être arrivé dans le sud avec les cigales qui chantent et les tuiles qui recouvrent les maisons.

Vingt septième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous laissez le GR^®65 pour suivre une variante pleine de charme qui vous permettra de sortir des sentiers battus et découvrir une nature sauvage avec des paysages à couper le souffle. Juste un peu avant le charmant petit village de Béduer, vous quittez le GR^® 65 pour vous engager sur la voie du Célé sur le GR^® 651. Vous traverserez les villages de Boussac et de Corn aux vieilles maisons typiques du Quercy et aux grottes troglodytiques. Puis c'est lové au creux d'un méandre du Célé que vous découvrirez Espagnac-Sainte-Eulalie, deux villages authentiques, regroupés en un seul. Il faut le dire, le magnifique prieuré et son clocher exceptionnel valent à eux seuls le détour. Ce n'est pas sans raison que les lieux se nomme Val Paradis.

Vingt huitième étape du Chemin de Compostelle. Une très belle étape qui sillonne la vallée du Célé. En suivant la rivière, les parois rocheuses s’ouvrent et livrent au regard leurs grottes obscures, leurs jolis villages, leurs maisons troglodytes et leurs moulins. La Vallée du Célé ondule dans un parcours sauvage et poétique à la fois, qui à coup sûr, vous émerveillera !

Vingt-neuvième étape du Chemin de Compostelle. Cette très belle étape débute par une nouvelle montée, pour atteindre le château-musée de Cuzals avec des points de vue sur les Causses et la vallée du Célé, avant d’arriver sur les hauteurs de Cabrerets. Le village se blottit le long du Célé et est dominé par son très impressionnant château. S'ensuit un passage par la grotte de Pech Merle, avant de découvrir quelques-uns des plus beaux panoramas de l’étape, avec une jolie vue depuis la falaise de Rochecourbe. Une belle descente vous permet de quitter le Célé pour atteindre le Lot, près de Bouziès ou le GR^®651 se termine. C’est ici que je vous propose une entorse au chemin de Compostelle en remontant le cours d’eau, en direction de Saint-Cirq-Lapopie, fantastique cité perchée et incontournable du département. En passant par un lieu incroyable, vous aurez la chance de découvrir le chemin de halage, un sentier taillé dans la roche et utilisé à l’origine pour le passage des chevaux.

Trentième étape du Chemin de Compostelle. Sur cette étape, vous quittez Saint-Cirq-Lapopie par le magnifique chemin de halage et rejoignez Bouziès. Vous laissez le GR^®651 pour suivre le GR^®36. Vous grimpez de nouveau sur le causse offrant de belles vues sur la vallée du Lot, avant de redescendre sur Arcambal et son château médiéval. Vous longez ensuite le cours tranquille du Lot jusqu’à Cahors.

Cahors... je connaissait de nom, j'y suis souvent passé pas très loin, mais je ne m'y suis jamais arrêté. Quelle erreur ! Cahors, est une jolie petite cité médiévale et une ville de taille humaine où l’on peut tout faire à pied. Avec son célèbre et somptueux Pont Valentré et sa fameuse cathédrale Saint-Étienne, cette ville possède un patrimoine antique et médiéval inouï. Le Vieux Cahors est également un endroit des plus attrayant avec ses jardins secrets, ses maisons à colombages, ses halles et son marché.
J'ai visité et découvert Cahors lors de ma deuxième journée de repos après 21 jours de marche sur mon chemin de Compostelle.

Trente-et-unième étape du Chemin de Compostelle. Une étape facile avec un peu de dénivelé au départ de Cahors et une belle montée au départ. Vous traverserez le magnifique Pont Valentré pour arriver, 23 km plus loin, à Labastide-Marnhac, charmante petite ville du département Lot où les maisons de pierre blanche, aux façades fleuries, se serrent de part et d’autre de la rue principale. Le parcours se poursuit tranquillement jusque Lascabanes, petit village pittoresque avec son alignement de maisons typiques des petits paysans d’autrefois.

Trente deuxième étape du Chemin de Compostelle. Une étape où le GR®65 joue un peu aux montagnes russes. Vous traverserez la ville de Montcuq, l'une des villes les plus célèbres de France, popularisée dans les années 1970 grâce à un fameux sketch de Daniel Prévost dans Le Petit Rapporteur, pour arriver à Lauzerte, village perché, dominant vallées et collines du Quercy Blanc et classée parmi les Plus Beaux Villages de France.

Trente-troisième étape du Chemin de Compostelle. Le GR®65 joue un peu aux montagnes russes sur cette étape assez longue . Après la première montée, n’oubliez pas de vous retourner pour admirer au loin le village de Lauzerte. Pigonniers et chapelles, tout comme vignes et vergers se succèdent. Vous quittez tout doucement le Quercy Blanc, pour rejoindre les rives du Tarn et la ville de Moissac qui mérite que l'on s'y attarde.

Trente quatrième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape de récupération, vous suivez les berges du Tarn, de la Garonne et du Canal de Golfech pendant 15 km. Après cette section, ce n'est quasiment que du plat pour arriver à Espalais. Une dernière petite côte sera, tout de même, nécessaire pour rejoindre Auvillar.

Trente cinquième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous entrez dans le Gers en Lomagne, ce pays de collines escarpées appelé aussi la Gascogne bossue. Cette région gastronomique connue de tous, la région du foie gras et de l'armagnac, est aussi une terre de capitaines avec ses châteaux, fermes fortifiées, redoutes, bastides, places fortes, etc. Qui ne connaît pas d'Artagnan !
Vous emprunterez de jolis sentiers tracés parallèles à la route qui sont bordés d'arbres fruitiers (pommes, poires, cerises, figues, noisettes) et de cyprès.

Trente-sixième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, à cause de la pluie et de la boue qui rendent les chemins difficiles et glissants, j'ai préféré éviter la ville de la Romieu. Rien ne vous oblige à suivre mon parcours et, si le temps le permet, de rester sur le GR^®65 et visiter la Romieu. Sur ce parcours un peu long, vous commencez à apercevoir, au loin, la chaîne des Pyrénées et le passage obligé pour l’Espagne qui se profile ! Après la traversée de Lectoure, capitale du melon, des montées et descentes pour passer d'un val à l'autre.

Trente septième étape du Chemin de Compostelle. Sur cette étape assez longue vous cheminez, au départ, sur des sentiers vallonnés et herbeux jusqu'à Condom petite ville chargée d'histoire et très vivante. Votre chemin vous amène ensuite, par monts et par vaux, entourés de champs de tournesols et de vignes au pays de l'Armagnac, jusqu'à Montréal-du-Gers.
Attention, en cas de pluie, certains endroits peuvent être très boueux et glissants.

Trente huitième étape du Chemin de Compostelle. Au programme de cette courte étape : paysages vallonnés, vignes, champs de maïs, forêts, avec une arrivée dans la magnifique ville antique d'Eauze, Prenez le temps d’apprécier cette traversée du pays de D’Artagnan qui, au cœur des provinces de Guyenne et Gascogne, dévoile des paysages tout en douceur, symboles d’un certain art de vivre.

Trente neuvième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, c'est une belle traversée du Bas Armagnac dans un paysage champêtre avec ses maisons en colombages, ses vieilles chênaies séculaires, ses champs de mais et tournesols et les vignobles qui ont fait la renommée de ce pays et, en fond de toile une vue sur la chaine des Pyrénées.
En cas de pluie, certaines portions de chemin à travers les vignobles peuvent être très boueuses et glissantes.

Quarantième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape arrivant à Aire-sur-l'Adour, vous quittez le département du Gers pour entrer dans celui des Landes. Vous laissez également derrière vous les chemins boueux et glissants pour arriver, une fois passé la ville d'Aire-sur-l'Adour, sur la promenade du Lac de Brousseau.

Quarante et unième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape, assez longue, vous fait traverser les villages de Sensacq puis Pimbo avant d'entrer dans les Pyrénées-Atlantiques. Ce département reçoit tous les chemins vers Compostelle. Vous allez profiter des paysages des Landes et en fonction de la visibilité, vous aurez de très belles vues sur le Tursan et les Pyrénées.

Quarante deuxième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape au départ du Lac d'Arzacq vous fait pénétrer en Béarn avec de beaux paysages de campagne et de beaux chemins en balcon entre la vallée du Luy et les gaves du Béarn.

Quarante troisième étape du Chemin de Compostelle. C’est une étape vallonnée qui vous attend et qui relie la vallée du Gave de Pau à celle du Gave d’Oloron pour arriver à Navarrenx, petit village du Béarn qui saura vous séduire par ses terres arrosées par le Gave d'Oloron, et ses affluents, le Saleys, le Laus, l'Arroder et le Lucq.
Navarrenx est labellisé "Plus beaux villages de France".

Quarante quatrième étape du Chemin de Compostelle. Au cours de cette étape vous quittez le Béarn pour le Pays Basque. Très longue étape qui se déroule en grande partie sur des routes départementales et des chemins à travers bois. Compte tenu que vous ne traversez pas de gros village, il est donc préférable de prévoir le ravitaillement au départ.

Quarante cinquième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape est la dernière de la partie Française. Les paysages du pays basque qui vont se succéder, plus merveilleux les uns que les autres, vous laisseront un souvenir inoubliable. À votre arrivée à Saint-Jean-Pied-de-Port, vous aurez déjà parcouru en 45 jours de marche, 1150 kilomètres environ, avec 12750 m de dénivelé positif. De quoi être fier du chemin accompli !
Pensez à vous rendre au bureau d’accueil des pèlerins muni de votre crédenciale afin de faire attester de votre passage à Saint-Jean-Pied-de-Port, avant la traversée des Pyrénées et afin de prendre les informations utiles pour votre traversée en Espagne.
Profitez également d'une journée de repos pour recharger les batteries et profiter de la ville qui est classé parmi Les Plus Beaux Villages de France grâce à son architecture basque typique et préservée, ses paysages verdoyants ouverts sur les Pyrénées et au savoir-faire de ses producteurs et de ses artisans d’art.

Remonter le temps, grâce à la découverte d'un patrimoine unique, tout en foulant les pavés centenaires, et en appréciant la vue sur les Pyrénées, c'est ainsi que vous découvrez l'authentique ville de Saint-Jean-Pied-de-Port.
J'ai visité cette ville à l'issue de la dernière étape française de mon Chemin de Compostelle, après 47 jours de marche.

Quarante-sixième étape du Chemin de Compostelle. Étape exigeante physiquement, avec l'Ascension des Pyrénées, des vues splendides sur le Pays Basque alentours si le temps le permet, troupeaux en libertés, sensations aériennes, et excitation de passer en Espagne.
Après une bonne et longue descente, vous arrivez au Monastère de Roncevaux. Vu l'altitude du point d'arrivée et la fraicheur, j'ai préféré le dortoir du monastère au bivouac. Au départ de Saint-Jean-Pied-de-Port c'est un autre périple qui commence. Les paysages ne sont plus les mêmes et les Pèlerins non plus. À partir d'ici, 10 fois plus de monde sur les chemins. Très peu de Français et beaucoup de Coréens, d'Australiens, d'Américains de Philippins et bien sûr des Espagnoles. À partir d'ici, il faut parler Espagnol ou Anglais ou utiliser Google Traduction. Mais on arrive toujours à se faire comprendre et se débrouiller. C'est la magie du chemin de Compostelle.

Quarante septième étape du Chemin de Compostelle. Une étape longue mais moins éprouvante que celle de la veille, malgré une descente un peu pénible vers Zubiri. Au cours de ce parcours, vous alternez les paysages de forêts de hêtres et de pins avec de charmants petits villages à l'architecture typiquement navarraise. À partir de cette étape, le balisage du chemin de Compostelle en Espagne est constitué de flèches Jaunes soit peintes au sol, sur les façades, sur des rochers et sur des arbres, soit d' une signalétique européenne spécifique, avec une coquille Saint-Jacques Jaune stylisée sur fond Bleu. Ce logo peut se décliner en coquilles de bronze clouées sur les murs ou dans le sol dans les grandes villes traversées et indiquent la direction vers Compostelle.

Quarante huitième étape du Chemin de Compostelle. Une étape comme aujourd'hui se dit en Espagnol : todo derecho - toujours tout droit. Vous longez avec peu de dénivelée la Rio Arga jusqu'à Pampelune, au pied d'un groupe de collines couvertes de hêtres, de chênes et de pins sauvages. À l'approche de Pamplona, le paysage devient plus clairement influencé par la civilisation, avec ses conifères, ses reboisements et ses terres agricoles.
La suite de l'étape est dominée par l'Alto del Perdón qui est un point de vue magnifique. Vous pouvez y voir Pampelune et les Pyrénées derrière et en face, la vaste plaine navarraise. Vous passerez une partie de la journée à monter et descendre cette chaîne de montagnes en traversant des petites villes tranquilles qui ressemblent à des îles qui flottent entre les champs de céréales.

Quarante-neuvième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape courte reste très intéressante par les localités traversées telles que Mañerú, Cirauqui et Villatuerta jusqu'à votre lieu d'étape, Estella, sur le Rio Ega, une merveille des siècles passés, qui vous reçoit avec un pont très photogénique.

La vieille ville médiévale d'Estella, que traverse l'Ega, possède de nombreuses constructions romanes et gothiques, qui témoignent de sa splendeur passée. « Estella la bella » comme l’appelaient les pèlerins du Moyen Âge, est située en Navarre, sur le Camino Francés, entre Puente la Reina et Logroño. J'ai visité cette belle ville lors de la quarante-neuvième étape de mon chemin de Compostelle.

Cinquantième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape vous mène aux confins Sud de la Navarre, jusqu'au village pittoresque de Torres Del Rio, avec son Église du Saint-Sépulcre, joyau de l'art roman. En plein soleil, ce parcours est long et éprouvant. Quand vous arriverez à Irache, connu pour sa fontaine à vin, vous aurez marché seulement une demi-heure, et il vous restera encore 27 km à parcourir… or le vin d’Irache est fortement alcoolisé, même s’il se laisse boire facilement ! Pensez à bien remplir votre gourde… en eau !

À la croisée des chemins de Compostelle, Logroño est traversé par l'Èbre, que surmontent deux ponts permettant de la relier à la Navarre et à Álava. Logroño semble une ville dynamique qui conserve avec soin une vieille ville marquée par le passage du Chemin de Saint-Jacques et la culture et production du vin. c'est une ville très agréable pour s’y promener surtout le soir, pour déguster des tapas dans sa zone des bars si fameuse.
J'ai visité cette ville lors de la cinquante et unième étape de mon chemin de Compostelle.

Cinquante deuxième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, la sortie de Logroño s'effectue par une marche agréable à travers le grand parc de La Grajera et son lac du même nom, et se poursuit jusqu'à Navarrete, commune réputée pour son artisanat. Après une légère montée qui vous conduit jusqu'au Alto de San Antón, d'où l'on aperçoit déjà Nájera, le chemin vous mène jusqu'aux rochers rouges de la rivière Najerilla, où se trouve l'ancienne ville royale de Najéra.

Cinquante troisième étape du Chemin de Compostelle. Étape simple et courte avec peu de pentes, à travers un territoire légèrement vallonné. L'itinéraire emprunte essentiellement des pistes agricoles et les vignes cèdent la place aux cultures céréalières. Vous arrivez à Santo Domingo de la Calzada, une ville qui conserve un beau centre historique médiéval et qui fut déclaré Ensemble d’Intérêt Historico Artistique en 1973. La principale attraction patrimoniale de la ville est la cathédrale.

Santo Domingo de la Calzada fut fondée par le saint dont elle porte de nom dans le but de venir en aide aux pèlerins de la route jacobine. C’est une étape de repos sur le Chemin de Saint-Jacques. Il faut y voir entre autre, sa cathédrale et se promener entre les nombreuses églises, les monuments historique et les ruelle étroites, ce qui peut vous occuper une demie-journée.
J'ai visité cette ville lors de la cinquante-troisième étape de mon chemin de Compostelle.

Cinquante-quatrième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape est marquée par l'entrée en Castille et León, juste après avoir passé le village de Grañón. Le chemin qui mène jusqu'à Belgrado nécessite de suivre des pistes aménagées, à quelques mètres de la Carretera (N-120) très fréquentée, rendant le parcours peu agréable mais qui assure une avancée rapide.

Cinquante-cinquième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape en direction de Burgos vous fait traverser plusieurs villages au fil d'un chemin qui monte de manière imperceptible et vous mène tout d'abord vers le Montes de Oca à travers des paysages forestiers, pour finir vers le couvent de San Juan de Ortega, un couvent perché dans les montagnes, qui apparaît telle une oasis (pensez au ravitaillement au départ).

Cinquante-sixième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape vers Burgos passe par Atapuerca et vous mène par-dessus la seule et unique petite hauteur de la journée au travers d'une région campagnarde.
Variante à l'entrée de Burgos pour éviter le bitume après Orbaneja Riopico. Cette alternative, bien balisée par Castañares est plus agréable. Elle évite au maximum le goudron, et elle est ombragée tout au long de la rivière.

La quantité de choses à faire à Burgos est impressionnante, les monuments tant religieux que civils, les parcs, les musées, les fontaines, les statues et j'en passe. Parmi les lieux à visiter, peut-être que le plus important à voir est la Cathédrale de Santa Maria, une église catholique de style gothique transformé en musée. Elle détient dans son intérieur, de nombreuses chapelles qui sont chacune, un petit musée à elle seule. Pas loin de l'autel, sur le sol, se trouve la pierre tombale du Cid et de Chimène. Ne pas manquer non plus le Monastère de Santa María la Real de Las Huelgas, le Château de Burgos, le centre historique, la Chartreuse de Miraflores, etc.
J'ai passé une journée à visiter Burgos, à l'issue de la cinquante-sixième étape de mon chemin de Compostelle.

Cinquante-septième étape du Chemin de Compostelle. Après une parenthèse urbaine à Burgos, cette étape vous conduit au cœur des paysages brûlants de la Castille. Après Rabé de las Calzadas vous rentrez de plein pied dans une Meseta haut plateau désertique, ponctuée de villages plantés au milieu des champs. Ici, c'est un désert de terres labourées sur un chemin souvent plat, droit, en plein vent ou le soleil tape dur! Protégez-vous avant de vous transformer en écrevisse.

Cinquante-huitième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape avec peu d'arbres pour s'abriter du redoutable soleil d'été, ou du vent et de la pluie inconfortable, se déroule en grande partie sur un bon terrain entre les champs de céréales. Après le passage sous les arches de San Antón, vous traversez le village de Castrojeriz et après l'ascension du Teso de Mostelares, vous arrivez au village d'Itero de la Vega.

Cinquante-neuvième étape du Chemin de Compostelle. Étape longue et plate sans aucune difficulté si ce n'est que l'on progresse à côté de longues portions de route à grande circulation. Vous entrez dans la province de Palencia et traverserez plusieurs villes et villages dont ceux de Boadilla del Camino avec son Rollo gothique et de Frómista où vous pourrez contempler la quadruple écluse du Canal de Castilla. Après être entré dans la communauté autonome de Castille-et-León, vous découvrez la ville de Carrión de los Condes avec son extraordinaire Église de Santa María del Camino et sa vieille ville.

Soixantième étape du Chemin de Compostelle. Étape sans souci... c'est plat... plat... plat ! Peu de traversées de village. Parcours moins désertique que l'étape précédente, il n'y a, néanmoins, pas grand chose à découvrir. Mais cela peut être l'occasion d'écouter le silence et de méditer sur ce qui nous a vraiment poussé à rejoindre Compostelle !

Soixante-et-unième étape du Chemin de Compostelle. Ce court parcours est une étape de transition afin de prendre le temps de visiter la Virgen del Puente avant d'arriver à Sahagún puis visiter cette ville, ses églises et ses monastères .
Prendre le temps aussi de se reposer après les longues étapes précédentes afin de se préparer à affronter les longues étapes suivantes.

Soixante-deuxième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape est longue, monotone, chaude ! Bref, encore une étape dans la Meseta et plus précisément dans la rocailleuse plaine de Páramo, avec d'interminables chemins rectilignes sans grande variété, qui n'en finissent pas.

Soixante-troisième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous laissez derrière vous le haut plateau aride de la Meseta pour arriver à León, une des villes les plus belles et les plus riches en culture du Chemin de Saint-Jacques. Étape assez courte qui vous laissera du temps pour visiter cette ville.

León est une ville pleine d’histoire et de monuments à découvrir. Sans aucun doute, la cathédrale est le site numéro un à voir à León. Un monument colossal qui gouverne la ville depuis les hauteurs et qui captive par sa seule présence. Outre cet édifice monumental, pour pourrez découvrir la Collégiale royale de San Isidoro, la Maison Botines, le Palais des Guzmanes, les Murailles romaines et médiévales et le Couvent San Marcos.
Et si vous avez du temps, n'hésitez pas à flâner dans les quartiers Húmedo Romántico pour y découvrir l'ambiance qui règne autour des bars à Tapas.
J'ai visité cette ville à l'issue de la soixante-troisième étape de mon chemin de Compostelle.

Soixante-quatrième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous traversez la partie ancienne de la ville de León, en passant par les célèbres bars à tapas, restaurants et points emblématiques tels que la colonne Trajana. La sortie de León est terrible, plusieurs heures de marche le long de la N-120, et ce, jusqu'à Villadangos del Páramo.

Soixante-cinquième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous atteignez le pont d'Orbigo très photogénique avant de traverser plusieurs villages pittoresques, pour arriver à Astorga, cité romaine avec un imposant mur d'enceinte dont les nombreux monuments rappellent le passé historique.

Soixante-sixième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous grimpez gentiment le versant Est des monts du León dans de magnifiques paysages. Le parcours traverse de pittoresques petits villages sauvés de l’abandon. Après un passage par Rabanal del Camino sur un sentier à travers des forêts de chênes, vous commencez l'ascension vers la Cruz de Ferro (la Croix de Fer), dans un paysage de landes quasi-désertes, avant de descendre vers le hameau de Manjarin pour y passer la nuit dans, ou à côté, d'un refuge folklorique.

Soixante-septième étape du Chemin de Compostelle. Sur cette étape, la montée vers l’Alto de Cerezales vous offrira une magnifique vue panoramique sur les environs. Commence alors une longue descente par des chemins caillouteux et, à travers de magnifiques châtaigneraies, vers Ponferrada. Cette vieille cité construite au confluent des Rios Boeza possède de nombreux édifices religieux et un imposant château fort construit par les Templiers au 13e siècle.

Soixante-huitième étape du Chemin de Compostelle. L'étape du jour traverse entièrement la région du Bierzo, un grand trou entouré de montagnes et avec un microclimat plus doux. Vous retrouvez la campagne et les vignobles qui donnent les fameux vins du Bierzo. Après avoir, passé quelques petits villages qui s’étirent le long du chemin et franchi le Rio Cua, arrivez à Villafranca del Bierzo, ville franque née du chemin et riche d’un beau patrimoine

Soixante-neuvième étape du Chemin de Compostelle. Voici une étape qui ne ressemble pas à celle de la veille, loin s'en faut ! C'est l'étape, dont le souvenir restera indélébile dans le temps, grâce à la belle, excitante et redoutée montée vers O Cebreiro, la plus haute ascension du Chemin Français en territoire espagnol. Au village d'O Cebreiro, vous êtes en Galice, ce village est un petit bijou, de par son emplacement, ses vues, son église, ses pallozas et ses légendes.

Soixante-dixième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape vers Triacastela monte d'abord vers l'Haut de San Roque et sa statue monumentale du pèlerin, puis descend doucement vers le petit village de Triacastela.
Entre les deux, un voyage paisible à travers des zones boisées et des prairies vertes qui nous réconcilie avec la nature.

Soixante et onzième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, moins de longues sections en bordure de route à circulation, vous avancez sur un parcours champêtre plus vert et plus calme traversant de nombreux petits villages.

Soixante-douzième étape du Chemin de Compostelle. Saint-Jacques de Compostelle approche à grands pas, aujourd'hui vous allez passer la mythique limite des 100 km restant entre les villages Ferreiros et Moimentos. Une étape de marche à travers de nombreux petits villages ou hameau qui vous mène jusqu'à Ventas de Narón, petit hameau situé dans province de Lugo, communauté autonome de Galice, au Nord-Ouest de l'Espagne.

Soixante-treizième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape en descente, vous continuez à traverser la Galice qui est une très belle région verte, dont la traversée rappelle le tracé en Aubrac. En effet les chemins de la région sont bordés de murets. La région est belle mais pauvre. L'habitat est dégradé et la population âgée rencontrée vit les pieds dans la bouse de vaches.

Soixante-quatorzième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape se présente longue mais facile, sur une route en très bon état, avec des sentiers en terre et en pierre, ainsi que de petites routes ou pistes asphaltées entre villages, avec des montées et des descentes douces et des parties planes intercalées. Vous arrivez à A Rúa, au camping Peregrino O Castiñeiro, pour recharger vos batteries et vous préparer pour la dernière étape.

Soixante-quinzième étape du Chemin de Compostelle. Cette étape vous emmène une dernière fois sur des chemins et sentiers paisibles entre petits villages, forêt et campagne. Au fur et à mesure que l’on approche, le flot des marcheurs s’intensifie. Mais au milieu de la foule chacun marche seul avec lui même. Dans les yeux de tous brille l’étoile de Compostelle. L’arrivée à Saint-Jacques-de-Compostelle est toujours un moment d’intense émotion assortie de nombreux rituels.
Le premier exercice obligé est de se faire photographier devant le panneau Santiago. Ceci fait, s’ensuit la traversée des faubourgs avant d’arriver au quartier historique où trône la cathédrale ou vous pourrez aller mettre votre pied au "Kilomètre 0" situé au milieu de la Place del Obradoiro, juste en face de la cathédrale, Il symbolise la fin du pèlerinage, le point d'arrivée de tous les chemins et surtout la fierté d’avoir réussi, d’avoir dépassé ses limites, vaincu ses peurs et ....
Et vient le moment du retour.

Saint-Jacques de Compostelle est connu dans le monde entier. Construite sur le tombeau de l’Apôtre Saint-Jacques, la ville attire les voyageurs pour sa célèbre cathédrale, un monument exceptionnel dont les façades sont à couper le souffle et qui conserve une multitude de reliques. Mais la ville de Santiago recèle bien d'autres monuments tout autant grandioses.
Chaque année, c’est plus de trois millions de visiteurs qui viennent déambuler dans les quartiers de la ville dont l’architecture romane, gothique, baroque en font une vraie particularité.