Randonnées Angeac-Champagne

Le nom d’Angeac vient du latin « Andiacum » ou « Villa Andii ».
Le nom Champagne aurait été rajouté afin de le différencier de son homonyme « Angeac- Charente ».
Elle se compose de deux bourgs : Angeac et Roissac. Ses distilleries professionnelles sont un atout majeur dans
la production importante d’eau-de-vie.

Une belle promenade à travers le vignoble charentais et ses belles demeures, autour du beau village de Roissac.
Angeac-Champagne compte de nombreuses maisons charentaises cossues, témoignage de l'opulence économique liée au produit local, sa vocation principale. L'entrée des propriétés est marquée par un porche ou portail : on en compte pas moins de cinquante ! Ils sont uniques et fondamentaux de notre patrimoine local. Au village de Roissac, ils embellissent la rue principale.

Ce circuit ,créé par la Communauté de Communes de Grande Champagne, fera état d'une demande de labellisation 4 handicaps. À découvrir des pupitres ludiques sur la rainette verte, les porches, la distillation et le vieillissement du Cognac.

Construite sur les premiers côteaux de Grande Champagne, Genté offre à ses habitants la proximité de la ville de Cognac qui se trouve à 8 km, et les charmes de la vie rurale. Le point 101 est un lieu emblématique de la commune de Genté où se situe la table d'orientation. En effet, à cet endroit se trouvait un ancien moulin dont certains vestiges se trouvent encore enfouis dans la terre autour du site. De plus, le point 101 est le point de repère par rapport au niveau de la mer.

Genté fit partie, au Moyen-Âge des châtellenies de Cognac et de Merpins et eut pour seigneur les sires de Cognac, depuis Arnaud jusqu’à Guy de Lusignan.
Ce dernier n’ayant pas de prospérités, légua à son neveu, Guy de Mortemer par testament en 1281, les seigneuries de Salles et Genté.
La famille de Mortemer posséda les droits seigneuriaux de Genté jusqu’en 1561, époque à laquelle Gaston de la Rochefoucault leur succéda.

Blottie au milieu des premiers coteaux de Grande Champagne, à 8km au Sud de Cognac, Salles-d’Angles profite de la proximité de la ville tout en jouissant des avantages du monde rural et trouve son dynamisme dans la vie économique.

Blottie au milieu des premiers coteaux de Grande Champagne, à 8km au Sud de Cognac, Salles-d’Angles profite de la proximité de la ville tout en jouissant des avantages du monde rural et trouve son dynamisme dans la vie économique.

Située à 25m d’altitude, la rivière le Né, le ruisseau de la Motte sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Saint-Fort-sur-le-Né.
À partir de certains lieux, il y a d’excellentes vues du village, du dolmen, des vignobles, du paysage de la Grande Champagne et des autres villages aux alentours.
Chaque saison permet d’en découvrir des charmes différents.

Au milieu des coteaux auxquels il doit son nom : Coq est une déformation de cot signifiant coteaux, Juillac-le-Coq offre une charmante étape dans le vignoble : sa principale ressource.

Entre les petits hameaux où de superbes demeures se cachent et les vignes du Cognac très bien cultivées...

Juillac-Le-Coq est traversée par le ruisseau de la Mothe, un sous-affluent de la Charente. La commune compte environ 667 habitants. La viticulture est sa principale ressource.

Juillac-Le-Coq est traversée par le ruisseau de la Mothe, un sous-affluent de la Charente. La commune compte environ 667 habitants. La viticulture est sa principale ressource.

Juillac-Le-Coq est traversée par le ruisseau de la Mothe, un sous-affluent de la Charente. La commune compte environ 667 habitants. La viticulture est sa principale ressource.

C'est en décembre 1856 que Salles de Segonzac unit sa destinée à la Commanderie d'Angles, petite commune nichée dans un coude de la rivière Le Né. Angles rythmait sa vie en accord avec la rivière alors que Salles, à l'allure d'un gros village, faisait de la vigne son axe principal.

Arrosé par le Né et le Ruisseau de la Motte, Saint-Fort-sur-le-Né bénéficie d'une paisible vallée, verdoyante, qui se mêle harmonieusement au vignoble. De ci, de là, de beaux points de vue sur le village, le dolmen, le vignoble et les villages alentours. Et à chaque saison, des charmes différents...

Paroisse jusqu’à la révolution (1789), Verrières est devenue commune en vertu de la constitution de l’an VIII du 28 Pluviose. À cette époque, Verrières relevait de deux Seigneureries voisines: Juillac-le-Coq et Ambleville dépendant du chapitre de la Cathédrale d’Angoulême. Verrières fait partie du canton de Lignières jusqu’au 16 Brumaire de l’an VI, puis est rattachée à Segonzac. La commune compte aujourd’hui 375 habitants (857 en 1870).

Belle randonnée dans le vignoble de la Grande Champagne, zone de production de cognac, au Nord de Verrières. Quelques passages dans de petits bois ou en lisière agrémentent le parcours. Ce dernier est vallonné d'où un renouvellement constant du paysage. Le circuit permet également de s'intéresser au patrimoine bâti local et religieux avec l'église paroissiale Saint-Palais.

Commune bordée au Sud par la vallée du Né, son territoire s'y abaisse en pentes douces. Le vignoble, culture principale, recouvre plus des 2/3 de la superficie de la commune et produit d'excellentes et fines eaux-de-vie de Grande Champagne.

Commune bordée au Sud par la vallée du Né. son territoire s'y abaisse en pentes douces. Le vignoble, culture principale, recouvre plus des 2/3 de la superficie de la commune et produit d'excellentes et fines eaux-de-vie de Grande Champagne.

Gensac-la-Pallue se distingue, en son centre, par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de « palus » : marais. Cette zone humide était le prolongement du bras de la Charente qui s’est ensablé à l’ère tertiaire. Si, autrefois, les Gensacais tiraient profit de la rouche (roseaux qui poussent dans le marais), elle n’est aujourd’hui que prétexte à commémorer l’histoire locale.

Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés.

Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de "palus" (marais). Cette zone humide était le prolongement d'un bras de la Charente. La Pallue, enclave de la paroisse de Gensac, devint commune indépendante à la Révolution. Les deux communes de Gensac et de La Pallue furent réunies en 1857, à l'exception des villages de Roissac.

Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de «palus» : marais. Cette zone humide était le prolongement du bras de la Charente. La Pallue, enclave de la paroisse de Gensac, devint commune indépendante à la Révolution. Les deux communes de Gensac et de La Pallue furent réunies en 1857, à l'exception des villages de Roissac.

Parcours avec très peu de dénivelé, chemin très praticable même par temps humide. Au départ on passe aux bassins d'élevage de truites. Et à proximité de belles fermes viticoles.