Stationnement sur le parking devant l'église et la mairie.
(D/A) Emprunter la Rue des Écoles et remonter le long de l'église. Au carrefour juste après, prendre en face la Rue Basse et poursuivre jusqu'au niveau la chapelle située à main droite.
(1) Continuer quelques dizaines de mètres, virer à gauche dans la Rue des Étangs puis prendre la première à droite, Rue du Pays Neuf et longer la voie ferrée. À la Rue Saint-Léger, tourner à gauche pour franchir le passage à niveau et la suivre en allant tout droit.
(2) Dans la courbe à gauche, prendre à droite sur le chemin blanc et serrer à droite à la fourche suivante (cote 205). Garder le chemin principal jusqu'au niveau de l'Étang Basset.
(3) Quitter le chemin blanc pour prendre le chemin à gauche qui frôle l'étang et va rapidement devenir un chemin herbeux. Ce passage peut être humide et boueux par endroits en période hivernale.
(4) Quitter le chemin herbeux et tourner à gauche sur le chemin blanc. Continuer toujours tout droit jusqu'à ce que ce chemin vire à gauche à 90°.
(5) Quitter le chemin blanc pour s'engager à droite dans le chemin herbeux. Virer ensuite à gauche dans la tranche de bois N° 36 puis de nouveau à gauche pour retourner au chemin blanc.
(6) Tourner à droite et filer tout droit jusqu'à la Sommière des Coutances.
(7) Prendre à gauche et aller tout droit en traversant plus loin une clairière abritant quelques bâtiments. Continuer jusqu'à la lisière de la forêt, aux premières maisons de la Rue des Perchottes.
(8) Virer dans le chemin à droite et, au croisement suivant, prendre à gauche pour rejoindre le Chemin de la Vie du Moulin. Poursuivre sur la Rue des Étangs. Traverser la voie ferrée et emprunter immédiatement le premier chemin à droite pour longer l'Étang du Fourneau et retrouver la Rue de Franche Comté.
(1) Prendre à droite, serrer à droite sur la Rue Basse et traverser la Rue de l'Église pour rejoindre le parking de l'église et de la Mairie (D/A).
Citation : « Si tu n'arrives pas à penser, marche ; si tu penses, trop, marche ; si tu penses mal, marche encore.» Jean Giono