Boucle équestre au Roeulx

Départ à la Rue des Viviers, juste avant la ferme de la Chapelle.
Possibilité de garer les voitures et les vans en bordure du chemin.

Ce circuit est balisé par un fléchage de couleur Jaune.

(D/A) Se diriger vers la ferme de la Chapelle.

(1) A la fourche, prendre à gauche. A l'intersection qui suit, aller tout droit.

(2) Prendre à gauche le chemin bordé de peupliers. Au bout du chemin, tourner à droite et ensuite à droite pour arriver au Hameau de l'Enfer

(3) S'engager à gauche sur la Rue du Hameau de l'Enfer. Au carrefour, tourner à droite dans la Rue des Ecaussines.

(4) Au prochain carrefour, prendre à gauche la Rue de la Pitoire. Plus loin, virer à droite.

(5) Au carrefour en T, s'orienter à droite. Au bout de la rue, prendre à gauche sur la Rue des Ecaussines.

(6) Au carrefour, prendre à gauche (Nord-Ouest) le chemin de campagne bordé d'arbres. Poursuivre tout droit jusqu'à l'intersection qui suit.

(7) Partir à droite au carrefour. Aller tout droit, franchir un ru et aboutir à un croisement avec l'Avenue du Bois de Sapin.

(8) Tourner à gauche. Après environ 500m, prendre à droite le petit sentier qui traverse les champs pour rejoindre la Rue du Sec Pachy.

(9) Prendre à droite la Rue du Sec Pachy. Poursuivre tout droit jusqu'au carrefour de la Rue Abel Roger.

(10) Tourner à droite. A la fourche, à hauteur du Pont Quatre Sous, prendre vers gauche la Rue Jules Beghin.

(11) Après un virage à gauche, quitter la rue et prendre à droite le chemin de campagne qui longe la Ferme de Soumiaux et poursuivre tout droit pour atteindre le carrefour emprunté au début.

(1) Obliquer à gauche pour rejoindre le point de départ (D/A).

(3) Le hameau de l’Enfer était jadis un quartier occupé par des scieurs de long. Le nom de ce quartier serait-il dû aux terres environnantes assez ingrates ou à de sombres histoires de sorcellerie ? N’y traînez donc pas trop longtemps.

(4) Le mot « pitoire ou apitoire » provient du latin et signifie « endroit où on élève des abeilles », les romains ne connaissant pas le sucre faisaient une grande utilisation de miel. À la fin du XIX^ème siècle on y découvrit des vestiges de la période romaine : des clous en fer, des morceaux de bronze, des vases gracieusement décoré de feuillage et de fleurs, d’un personnage armé d’un fouet, des fragments de bois brulés, des ossements noircis ou calcinés.

(11) La cense de Soumiaux, appelée aussi Ferme de Soumignault, était déjà citée en 1138. Elle a longtemps été propriété de l’abbaye de Saint-Feuillien.