Randonnées Camjac

Cette boucle qui ne cesse de monter et descendre parcourt dans sa majeure partie des petits chemins en sous-bois en bord de ruisseau, elle peut donc se révéler difficile, voire impraticable, par temps humide.
Elle est bien balisée en Jaune dans sa première partie mais, après la sortie de Sauveterre, le balisage est inexistant et nécessite donc de bien suivre le descriptif.

Un circuit avec un ancien chemin conduisant au Moulin de Gary et la vallée du ruisseau de Montrou.

Une boucle qui permet de découvrir la Chapelle Saint-Clair de Verdun. Nichée au milieu des bois, cette chapelle doit sa survie en 1975 à la création d'une association de sauvegarde qui a assuré "in extremis" son sauvetage en restaurant la chapelle et une tour, seul vestige d'un ensemble fortifié détruit après le XVIIe siècle, et en réhabilitant une maison du XVe siècle. Cette chapelle possède des peintures murales datant du début du XVe siècle : l'archange Saint-Michel, la Vierge et l'Enfant.

Randonnée située au confluent de trois vallées et entre deux villages pittoresques, Saint-Just et Castelpers.
Le site de Castelpers est un ancien lieu fortifié, mentionné dans le livre des miracles de Sainte-Foy de Conques. C'est devenu un lieu très fréquenté. De cette ancienne seigneurie et baronnie appartenant à la famille des Castelpers (XIIIe au XVIIe siècle) il ne reste sur le rocher que la chapelle pré-romane dite Notre-Dame du Roc.
Ce petit sanctuaire domine de 150 m les gorges du Giffou et abrite une statue de la Vierge qui écrase trois serpents noirs.
La Chapelle Saint-Jean de Castelpers (à 2 km) nichée au milieu des bois était primitivement une petite abbaye qui devint un prieuré florissant jusqu'à à la fin des croisades.

Une petite randonnée qui ne paye pas de mine mais qui vous fera cependant suer quelques gouttes ! De jolis coins à voir avec de beaux paysages.

Réalisé par 9 artistes et artisans du Pôle, ce parcours vous propose de découvrir la bastide de Sauveterre et ses environs sous un angle nouveau. Leurs 8 œuvres sont disséminées dans 7 lieux de la commune, des plus connus, telle la Place des Arcades, aux plus curieux et le Parc Landès. À ces créations pérennes, s'ajoute une neuvième pièce réalisée par Jordane Saget, street-artiste et parrain du projet, qui est à découvrir pendant les deux premières années du sentier.
Vous pouvez retrouver le dépliant explicatif de la balade, ainsi que son plan, au sein de l'Ancre ou des offices de tourisme du Pays Ségali.

Randonnée sans grande difficulté, alliant chemins boisés et routes goudronnées.
Parcours ombragé et agréable malgré le vallonnement.

Balade en partie en forêt pour descendre dans la vallée de la Nauze et du Viaur où se trouve le site de Versailles : un petit paradis en bordure du ruisseau, idéal pour un pique-nique, une partie de pêche ou simplement une pause.

Cette randonnée de la mi-journée, facile, est à entreprendre par temps chaud ou très chaud. En effet elle se déroule tout le temps en sous-bois et le long du Viaur et presque entièrement sur sentiers balisés. Par contre elle ne s'effectue pas en boucle mais la vue sur le Viaur est très sympathique et surtout il y fait très bon à l'abri de la chaleur. Ce sentier est peu utilisé. Il se situe sur le chemin des Planques.

Un beau circuit sans goudron, petit mais costaud, pour une demi-journée d'efforts physiques.
Bien que classé en difficulté moyenne, du physique il en faut un peu pour franchir ces montagnes russes du Viaur.
Des bois, de l'eau, des points de vue, de vieilles pierres sont ici pour le plaisir des yeux.

Une boucle raccourcie pour aller à la découverte de la Chapelle de Las Planques, nichée au milieu des bois. Bien que court, ce circuit demande des efforts pour franchir les nombreuses montées et descentes qui se succèdent en alternance.

Ramassé autour de son église Gramond est un village riche de son passé. La vallée est sauvage le long du Lézert avec une vue sur Boussac qui vous émerveillera.

La chapelle de Las Planques est un exemple remarquable de l'art roman méridional.
Elle est blottie sur un promontoire rocheux, au milieu des bois, et domine majestueusement les Gorges du Viaur.
Cette longue boucle permet un accès moins difficile que celle venant de Pampelonne (publiée sur Visorando).
Bien que classée en difficulté moyenne, du physique il en faut un peu pour couvrir la distance et pour franchir ces montagnes russes du Viaur.

Découverte de la Chapelle de Las Planques pour des marcheurs modestes comme des enfants ou des personnes âgées et/ou des personnes non sportives.
Le promeneur pourra ainsi profiter d'une balade dans les bois et admirer la chapelle ainsi que le Viaur et leurs alentours sauvages et préservés.

Découvrez la commune de Lédas-et-Penthiès en parcourant la "Randonnée Paysanne" qui vous mènera du bourg à la vallée du Cérou, qui abrite les ruines du Moulin de Penthiès.

(octobre 2024 : pose d'une quarantaine de panneaux signalétiques (symbole roue de moulin) pour guider tout au long de la boucle - mise à jour du circuit en enlevant un tronçon de route)

Le voyageur du début du siècle qui empruntait la route royale Rodez-Toulouse, entre les deux relais de poste de La Primaube et de Baraqueville (Baraque de Fraysse), traversait un plateau presque désert couvert de landes et de châtaigneraies.
Seuls les bords de rivières et les pentes des vallées étaient cultivés. Le pays souffrait de la faim. C'était le pays des "ventres noirs", leur repas était à base de pain de seigle et de châtaignes.
L'arrivée du chemin de fer en 1902 permet d'amener la chaux pour amender ces terres acides. Le seigle disparut remplacé par des cultures de blé, de pommes de terre, de maïs qui permirent l'installation d'un élevage bovin de qualité.
Cette révolution agricole a redessiné ce terroir et a engendré la naissance de deux cités nouvelles, Baraqueville et La Primaube.

C'est le pays des eaux vives et des mille sources qui alimentent en aval de nombreux ruisseaux et petits lacs. Un petit détour au carrefour principal de la ville permet de voir 3 épis : depuis 1997, ils se dressent au centre du carrefour qui vit naitre Baraqueville, pour bien marquer la place que le bourg entend conserver au cœur du Ségala, celle du pôle principal d'animations et d'échanges. Les 3 épis symbolisent le passé du Ségala et font place entre eux aux 3 axes routiers du carrefour qui eux-mêmes, vus du dessus dessinent des rayons d'une roue en mouvement.