Le long du canal de la Villatte, à 500m avant le pont de la Mazelle, vestige d'un moulin, du bief et de la retenue.
À Saint-Sornin, l’église, en croix, serait du début du XV° siècle. Dans la sacristie, se trouvait un reliquaire du XVII° siècle où avaient été recueillis des ossements de Sainte-Radegonde, de Saint-Donat et Saint-Modeste. Dans la chapelle Sud, se trouve une belle statue de Sainte-Radegonde et une Piéta en bois du XV° siècle. La plus ancienne cloche date de 1592. Sainte-Radegonde était particulièrement vénérée à Saint-Sornin-Lavolps.
Une fontaine lui est dédiée dans le village. Son eau guérissait la gale et les maladies de la peau. Par ailleurs, toutes sortes de prodiges étaient attribués aux saints protecteurs du village. Saint-Donat en particulier était invoqué contre les orages.
La Chapelle Saint-Roch, sur la commune, est un ancien oratoire annexé au prieuré de Tulle en 1318. Il fut transporté sur son actuel emplacement, du village de Boissiaux, vers 1820. Il daterait d’une peste bovine particulièrement grave. Peu de saints ont été aussi célèbres en Occident que Saint-Roch entre le XIV° et le XVII° siècle. Contemporain de la peste noire dont il fut miraculeusement guéri, il fut souvent l’ultime recours d’une humanité décimée par l’épidémie qui fit périr pratiquement la moitié de la population de l’Europe. À Saint-Sornin-Lavolps, il est fêté tous les week-ends précédents le 15 août par une bénédiction des troupeaux. Autrefois, le prêtre bénissait aussi une poignée « d’herbes de la peste» qui, accrochées ensuite dans les étables, évitaient les maladies des animaux.
L'hippodrome accueille 11 réunions par an de courses de plat et d'obstacles, l'occasion de vous essayer aux paris !
Et les amateurs de pêche pourront s’adonner à leur passion à l'étang situé à proximité du bourg, en contre-bas du camping Les Etoiles.
Passage à proximité de l'ancienne Jumenterie nationale de la Rivière où mi-XIXème siècle, MM Gayot et De Lespinats ont créé la race de chevaux anglo-arabe, qui allie l'endurance du pur-sang arabe à la rapidité du pur-sang anglais.
Des ruines du château reste une tour ronde coiffée d’un toit en chaume qui participe de l’originalité de ce site.
Elles illustrent la période architecturale du gothique flamboyant (fin XIVème – début XVème s.), tandis que la chapelle porte encore les traces d’un ancien décor polychrome du XVème s. Propriété privée, visites organisées ponctuellement, se renseigner auprès de l'office de tourisme.
A Beyssac, au cœur du bourg, l’église évoque le Pape Innocent VI, né aux Monts à la fin du XIIIe siècle. Il est à l’origine de la construction de celle-ci de 1352 à 1362, années extrêmes de son pontificat. Cet édifice de style relativement rustique possède contreforts à pignons, réseaux de fenêtres rayonnants, peintures d’appareil dans les voûtes….
Innocent VI, né Étienne Aubert à Beyssac en Limousin en 1282 et mort le 12 septembre 1362 est évêque de Noyon et évêque de Clermont, puis il fut le 199ème pape de l’église catholique à Avignon de 1352 à 1362, succédant au pape Clément VI (1342-1352). Sa stèle est présente aux Monts.
La chartreuse de Glandier (ou du Glandier) est une ancienne chartreuse transformée en centre d'accueil pour personnes handicapées. Cette ancienne chartreuse fut connue comme étant comme le lieu central de l'affaire Lafarge, concernant une jeune femme d'origine aristocratique accusée d'avoir empoisonné son époux, maître de forge.
Pour combler un petit creux après la balade, il est possible de se restaurer au Moulin Rouge (lieu-dit Les Maisons Rouges à St-Sornin-Lavolps).