Randonnées Cherves-Richemont

Belle randonnée équestre au départ de la pension de La Pommeraie à Cherves-Richemont, entre vignes et chemins blancs, pour rejoindre les étangs de Thors, un étang de balade et de baignade puis l'étang de pêche entouré de bois, avec un retour boisé le long de l'antenne en passant par des gués et points d'eau.

Saint-Sulpice-de-Cognac est agréablement située entre les marais de l'Antenne et des coteaux calcaires. On y découvre les vestiges de la voie romaine d'Agrippa et des chemins de fer départementaux.
Cherves-Richemont est baignée par l'Antenne et offre une diversité de paysages imprévus. Le patrimoine historique est riche: églises romanes, Château Chesnel, moulins, logis...

À l'extrême Ouest de la Charente, Louzac-Saint-André est, avec ses deux bourgs et de nombreux hameaux, une commune typique des Borderies en territoire saintongeais.
Ces chemins ruraux sillonnent une alternance de secteurs boisés et de champs de vignes.
De vallons en collines, outre de belles perspectives sur les églises romanes de Saint-Martin de Louzac et de Saint-André, le promeneur découvrira deux paysages naturels remarquables, la Vallée du Ri Bellot et la Vallée de La Croix.

La commune de Louzac-Saint-André est parcourue d'environ 40km de chemins ruraux offrant parmi vignes et bois la possibilité de découvrir une grande diversité de paysages. La paisible Vallée de la Croix en est un exemple remarquable unanimement reconnu comme représentatif du patrimoine naturel historique des Borderies.

Randonneurs et promeneurs, partez à sa découverte ou réappropriez-le vous avec l’itinéraire ici proposé accessible à tous.

Ce parcours intègre la découverte de la Vallée de La Croix, patrimoine naturel historique des Borderies par le chemin du Panteneau au canton de Saint-Martin dont l'emprise matérialise depuis 1824 une des limites des deux communes de Saint-Laurent-de-Cognac et Louzac-Saint-André

Limitée au Sud par la Charente, la commune de Saint-Laurent présente un bourg ramassé autour de son église dotée d'un portail du XIe siècle, de plusieurs villages répartis dans les vallées et sur les coteaux ainsi que des fermes et des logis isolés.

Au confluent du Né et de la Charente, la commune de Merpins fut habitée très tôt et de façon continue : pointes de flèches, débris de poterie, puis forteresse médiévale imposante, église du XIe siècle, abbaye du XIIe en sont la preuve. Ces terres fertiles portent des prairies, des céréales et un vignoble classé en Grande-Champagne.

Par la beauté de ses sites et par la richesse de son patrimoine, Saint-Brice est l'une des communes les plus pittoresques du Cognaçais. Dans l'écrin que lui procurent les vallées de la Charente et de la Soloire, l'homme a depuis longtemps élevé des édifices symboliques : dolmens, églises, abbayes, châteaux et logis, toutes ces constructions étant d'une facture particulièrement soignée.

Sur les hauteurs de la Saintonge romane et perché à 78 m d'altitude, est un petit village au cœur du vignoble cognaçais. Parsemés autour du bourg, quinze hameaux se partagent les 271 habitants par le calme de sa campagne. Le terroir est principalement constitué de cultures, vignes et bois. Au fil des saisons, découvrez un riche patrimoine botanique et faunistique à sauvegarder.

Balade sur la commune de Courcerac, boucle au départ de l'aire naturelle et son étang, pour cheminer entres les vignes et emprunter quelques sentiers forestiers.

Les charmes de la Petite Champagne : la vigne n'y est pas omniprésente comme en Grande Champagne, l'alternance des couleurs des cultures ravit l’œil.
De Ars à Bougneau, un chemin de crête avec de vastes panoramas sur la vallée de la Charente. De Bougneau à Lonzac une promenade sur de bons chemin dans l'attente ...d'une belle et triste histoire d'amour. Un retour par des chemins longeant la vallée du Né avec un gué qui sera le seul point d'eau naturel. Pensez aux possibilités de halte...

Parcours avec très peu de dénivelé, chemin très praticable même par temps humide. Au départ on passe aux bassins d'élevage de truites. Et à proximité de belles fermes viticoles.

Gensac-la-Pallue se distingue, en son centre, par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de « palus » : marais. Cette zone humide était le prolongement du bras de la Charente qui s’est ensablé à l’ère tertiaire. Si, autrefois, les Gensacais tiraient profit de la rouche (roseaux qui poussent dans le marais), elle n’est aujourd’hui que prétexte à commémorer l’histoire locale.

Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de «palus» : marais. Cette zone humide était le prolongement du bras de la Charente. La Pallue, enclave de la paroisse de Gensac, devint commune indépendante à la Révolution. Les deux communes de Gensac et de La Pallue furent réunies en 1857, à l'exception des villages de Roissac.

Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés. La Pallue vient de "palus" (marais). Cette zone humide était le prolongement d'un bras de la Charente. La Pallue, enclave de la paroisse de Gensac, devint commune indépendante à la Révolution. Les deux communes de Gensac et de La Pallue furent réunies en 1857, à l'exception des villages de Roissac.

Gensac-la-Pallue se distingue par ses marais auxquels les habitants sont attachés.