Circuit de la Vignonnière

Stationnement sur le parking de la mairie de Saint-Martin-de-Sallen.

(D/A) Dos à la mairie, se diriger vers l'église pour quitter le parking et tourner tout de site par deux fois sur la droite. Monter en direction de Saint-Bénin, laisser la D 134 virer à gauche et continuer tout droit Rue de la Chapelle en suivant le GR^®36 (balisage Rouge et Blanc). Ignorer une route sur la droite et poursuivre la montée jusqu'à une fourche (panneau de sortie d'agglomération).

(1) À la fourche, quitter la D 134 et suivre à droite la direction de la Chapelle Saint-Joseph, toujours avec le GR^®36. Parcourir environ 600 m jusqu'à une intersection à proximité du calvaire et de la chapelle.

(2) Continuer tout droit pour monter rapidement jusqu'à la Chapelle Saint-Joseph (laisser le GR^® virer à gauche). Passer entre la chapelle et le calvaire puis descendre tout droit (Sud-Est puis Est-Sud-Est) jusqu'à une route.

(3) Traverser prudemment la route et emprunter en face le sentier forestier qui descend jusqu'à la D 134. Traverser cette route avec une extrême prudence puis la suivre à gauche en direction du Mesnil-Roger. Avec beaucoup d'attention, longer la route sur son bas-côté droit pendant environ 500 m.

(4) Tourner alors à droite à angle aigu dans une plus petite route.Traverser le hameau et le ruisseau de la Vignonnière et poursuivre sur environ 700 m en direction de Meslier. Au débouché du chemin de la Vignonnière, tourner à droite, passer devant le numéro 39 du chemin des Quesnots et parcourir environ 50 m jusqu'à atteindre la Rue des Mesliers.

(5) Traverser la rue puis tourner à gauche direction de la Suisse Normande. Après une cinquantaine de mètres, s'engager dans le chemin de Quévrus sur la droite avant un pylône. Remonter le chemin sur environ 600 m jusqu'à atteindre la croisée de trois chemins et y retrouver le GR^®36 à proximité d'un pylône à droite.

(6) Tourner à droite et suivre le GR^®36 sur environ 1,4 km jusqu'à atteindre une route.

(7) Tourner à droite dans la rue du Col, empierrée au départ puis goudronnée par la suite, et suivre la direction du bourg de Saint-Martin-de-Sallen, parcourir environ 500 m et atteindre la Rue de la Source et la D 134. Traverser très prudemment cette route et poursuivre en face pour contourner l'église par la droite. Ressortir de l'autre côté en face du parking de la mairie. Traverser la Rue du Tour de Ville et emprunter la Rue des Écoles pour rejoindre le parking (D/A).

Pour une version un peu plus longue, voir une variante entre (2) et (3).

L'Église Saint-Martin
Elle est du XIIe siècle et a été très remaniée aux XVIIe siècle et XXe siècle.
"Peu de vestiges de la construction d'origine ; un appareil en arêtes de poisson, une porte romane de plein cintre avec quelques décorations dites en étoiles. La tour du clocher du XXe siècle possède un cadran solaire en calcaire." (wikipedia)

"L'église située au milieu d'un vallon, bordé d'éminences assez élevées, offre dans les murs de la nef et du chœur quelques parties anciennes avec pierres disposées en arête de poisson mais, comme dans presque toutes les églises, il y a des reprises faites et des fenêtres repercées dans ces murs. On distingue dans le mur nord de la nef, une porte bouchée, à plein cintre, sans moulures, dont les clavaux sont partagés par du ciment. La tour placée à l'ouest est moderne." (A de Caumont 1-165)

La Chapelle Saint-Joseph
Le calvaire est plus ancien que la chapelle. Constitué de granit, il a été inauguré en 1846 par le maire et l'abbé de Saint-Martin-de-Sallen.
La chapelle date du XIXe-XXe siècle. La petite chapelle est édifiée, à l'issue d'une terrible épidémie, par l'abbé Loisel, curé de la paroisse, conformément à la promesse faite à Saint Joseph. "Construite en 1871 ; fut détruite par un incendie en 1919 puis complètement reconstruite. Le clocher mur, surmonté d'une croix de pignon, laisse entrevoir la cloche. On retrouve le même style de construction à la chapelle Bonne-Nouvelle (commune d'Esson) de l'autre côté de l'Orne, faisant le pendant de la chapelle Saint-Joseph" (wikipedia)
De nouveau endommagée pendant la dernière guerre, la chapelle est solennellement bénite par l'évêque de Lisieux après sa rénovation de 1958.
Des pierres provenant de la construction du XIXe siècle ont été réutilisées dans l'édifice actuel comme en témoignent les inscriptions encore lisibles sur les pierres d'angle du pignon.