Circuit des Jonquilles à Garnerans

Se garer sur la Place de la Bascule.

(D/A) S'engager, à droite, dans le Chemin Saint-Cyprien jusqu'à la première intersection. Continuer dans l'Impasse de Mont-Essui qui devient vite un sentier en herbe.

(1) À la première intersection, bifurquer à gauche, puis prendre le chemin à droite. À hauteur de la queue de l'étang, virer à droite. Ignorer le chemin à gauche, entamer une légère montée pour rejoindre le bitume. en arrivant au hameau de Montessuy.

(2) Bifurquer à gauche, puis traverser le hameau de Romans. Prendre la Route d'Illiat à gauche sur environ 50 m.

(3) Bifurquer dans le chemin à droite qu'il convient de garder sur 1 km jusqu'à un chemin transversal.

(4) À l'intersection, tourner à droite, puis à gauche et atteindre la D66a. L'emprunter à droite.

(5) À hauteur de silos, tourner à droite dans le sentier, dépasser une antennes et arriver à l'intersection des Croisettes.

(6) Se diriger à gauche, puis immédiatement à droite pour prendre le chemin qui descend. Au bout de celui-ci, emprunter à droite la route goudronnée qui rejoint la D96a.

(7) Continuer ensuite à droite en direction du village. On peut admirer l'église du XVIle siècle. Regagner la Place de la Bascule (D/A).

Les toilettes publiques et le point d'eau se trouvent derrière l'église Saint Jean Baptiste du village.
Pas d'aire de pique-nique à proximité le long de la randonnée.

Cette randonnée est proposée par l'Office de Tourisme du Val de Saône Centre en collaboration avec la FF Randonnée de l'Ain.

37% de goudron.

L'église Saint Jean Baptiste :
Construite par Claude Cachet, seigneur de Garnerans, l'église est consacrée en 1691. Le clocher a été abattu pendant la Révolution et fut reconstruit en 1821 avec la couverture de tuiles écaille que l'on peut encore voir aujourd'hui. Les deux chapelles latérales furent édifiées ensuite sous le règne de Louis-Philippe et leurs vitraux installés vers la fin XIXe siècle.

Les cultures en bocage :
Épargné par le développement de la mise en culture intensive, le Val de Saône a gardé un paysage de bocage partagé entre agriculture et élevage traditionnels.
Les agriculteurs plantent des semences variées : maïs, blé, colza... mais aussi beaucoup de cultures fouragères pour le bétail.
Cette mozaïque de parcelles a permis la préservation d'une riche biodiversité. De nos jours, des haies sont replantées pour préserver le bocage.