Circuit dit des Cormiers

Stationner sur la Place de l'Église de Conflans-sur-Anille.

(D/A) Descendre la Rue Saint-Maurice sur 200 m. Au carrefour, prendre à droite la Route de Corbohay. La suivre jusqu'au carrefour des lieux dits Le Grand Hameau à droite, Nicorbin à gauche (cote 138).

(1) Continuer en face et suivre le balisage Rouge et Blanc du GR^® 235. Dépasser la Proutière et La Croix. Rejoindre le hameau de La Tessierie.

(2) Au niveau des silos, partir à gauche, déboucher sur une petite route descendant au creux de la vallée de l'Anille. Passer le pont et tourner à gauche pour suivre la route.

(3) Juste avant le virage, s'engager dans le chemin montant s'ouvrant à droite balisage Rouge-Blanc. Atteindre la route desservant le hameau de la Bataillerie.

(4) Tourner à gauche vers la lisière de forêt puis au niveau de la table de pique-nique, obliquer à droite dans le large chemin pierreux. Le suivre, atteindre la lisière du bois, prendre le chemin de droite en lisière et passer La Lande pour rejoindre rapidement la D98.

(5) La traverser et filer en face dans un très beau chemin creux bordé de chênes qui mène à Les Coulonnières.

(6) Quitter ici le GR^® pour tourner à droite dans un chemin balisé Rose. Retrouver ensuite la D98.

(7) La prendre à gauche sur quelques mètres, la quitter au carrefour suivant pour s'engager à gauche dans le chemin ombragé desservant Les Bordes. Poursuivre en face et délaisser le chemin accédant au hameau Traverser un ru et rester sur ce chemin au carrefour des Trois Carrières pour atteindre la Route des Chênes.

(8) Tourner à droite, passer les lieux-dits Les Chênes et Les Petits Chênes. Continuer jusqu'à la station de pompage en bas de la descente.

(9) Obliquer à 90° à droite, poursuivre sur le chemin commençant après la passerelle. Prolonger plein Sud en ignorant le sentier à droite desservant la Buronnerie pour retrouver à nouveau la D98.

(10) La suivre à gauche et atteindre plus loin le panneau de l'agglomération.

(11) S'engager à droite dans le large chemin caillouteux devenant herbeux et ombragé jusqu'au carrefour avec une route, bordant une petite pièce d'eau en contre bas. La suivre à gauche sur quelques mètres jusqu'au carrefour du chemin.

(12) L'emprunter à gauche en montée, arriver ensuite au croisement du calvaire la Croix de Pitié Dieu, tourner à droite dans la Rue de la Madeleine puis la Rue Poitevin avant de rejoindre le parking de la Place de l'Église de Conflans-sur-Anille (D/A).

(D/A) À Conflans-sur-Anille
Église Saint-Maurice des XVIe et XVIIIe siècles.
Très belles peintures, représentant des saints en pied et des scènes bibliques.
Manoir fin XVe et XVIe siècles.
Ancien presbytère, actuellement la Mairie.
Lavoir.
En contre-bas, du manoir, sur le Roule Crotte.
Plusieurs maisons XVIe et XVIIe siècles.
Maison dite sous terre au n° 3 Ruelle du Presbytère.
Maisons dite Le Pavillon au n° 34, Rue Poitevin.
Maisons de tisserands aux n° 22 et 24 Rue Poitevin. Caractéristiques des maisons de tisserands du XIXe siècle, une à deux pièces, petits escaliers extérieurs permettant de rejoindre les caves semi-enterrées où se trouvait le métier à tisser.
Maison dite des Ligueurs au n° 5, Rue de La Madeleine.
Maison d'Alphonse Poitevin, inventeur de procédés photographiques au n° 4, Rue Poitevin.
Croix de la pitié Dieu.
Cimetière tombes de Alphonse Poitevin (1819-1882) Abbé Élie Cottereau, naturaliste (1867-1952)

En chemin :
Moulin à Foulon dit Moulin Gauthier.
(5) (6) (8) Plusieurs beaux cormiers et/ou alisiers visibles.
Peu à peu supplanté par le pommier et le poirier qui ont une fructification plus rapide, cet arbre précieux, autrefois indispensable au monde rural fournissait un bois très dur résistant au frottement et à la pression. Dents d'engrenages dans les moulins, vis de pressoir, moyeux de charrette, crosses de fusil, boules de fort, etc.
Entre (D/A) et (1) Château de Corbohay privé : bâti par Landron, architecte des halles de Saint-Calais.

À proximité :
Maison dite du Pont ou la Huguenotterie au n° 6, Route des Treize Vents. La maison, 1^re moitié du XVIe siècle, située près du pont qui lui a donné son surnom, dépendait de la seigneurie de la Barre.
Château de la Barre : Logis du XVe siècle avec une enceinte fortifiée de la fin XVIe siècle.