Circuit du Gros Charme de la Forêt de Pierrefitte

Dans le village de Pierrefitte-sur-Aire, en face de la place et de la grande peinture murale représentant une forêt, empruntez la route marquée par une signalétique Vert fluo. Ensuite poursuivez avec votre véhicule le chemin blanc sur votre droite pendant 2 km. Le départ se fait depuis l'aire de stationnement du Fond de la Pompe.

La randonnée est balisée de fléchages directionnels de couleur Jaune et fait environ 10 km.

(D/A) Empruntez le sentier qui monte à gauche sur environ 300 m avant de trouver à votre droite « Tranchée » (Alexandra Engelfriet, 2013). Continuez ensuite pour arriver à une intersection.

(1) Tournez à gauche et une centaine de mètres plus loin apercevez « Mobilier désurbanisé » (Made, 1997). Poursuivez le chemin quelques centaines de mètres, sur votre droite le balisage Jaune vous mène à un sentier entrant en forêt. Après quelques mètres découvrez « Le silence des icebergs » (Laurent Pernot, 2008). Continuez.

(2) Sur votre gauche avant le chemin blanc se trouve une table de pique-nique ainsi qu'un impressionnant Gros Charme donnant son nom à cette randonnée. Au chemin blanc tournez à droite et continuez sur 600 m jusqu'à un embranchement.

(3) Prenez le chemin montant sur votre droite. Suivez ce chemin en longeant la parcelle de résineux à votre gauche, vous apercevrez alors à droite « Entrelacs (fatras) » (François Génot, 2005). Continuez votre chemin, descendez la pente et empruntez le chemin d'accès sur votre droite menant à « Hannibal » (Marina Le Gall, 2016). Revenez sur vos pas, montez à droite puis poursuivez environ 200 m afin de chercher « Cent clés » (Made, 1997).

(4) Continuez à droite votre chemin et arrivés au cartel de « Chemin de vie » (Liliane De Vito, 2002) tournez à droite et avancez une cinquantaine de mètres pour voir l'oeuvre. Ensuite, reprenez le sentier principal et continuez jusqu'au croisement balisé.

(5) Tournez à droite, marchez jusqu'à la lisière de la forêt où vous pourrez vous asseoir sur « Sylvia » (Stéphane Vigny, 2011). Poursuivez en traversant le champ. Au milieu de celui-ci arrêtez-vous pour voir « Les variables obsolètes » (Nicolas Boulard, 2012). Continuez en rejoignant la forêt puis tournez à gauche à la lisière pour découvrir « L'oiseau source » (Jean-Pierre Brazs, 2000).

(6) Poursuivez en virant légèrement à droite, longez la parcelle déboisée sur votre gauche puis empruntez le petit sentier à droite qui mène à « Peuple migrateur » (Katarina Kudelova, 2007). Descendez jusqu'au cartel du « Jardin des méditations » (Erik Nussbicker, 2017) qui va vous guider dans un chemin serpentant à travers le bois dans lequel vous apercevrez également la « Tourelle d'y Voir » (Erik Nussbicker, 2018).

(7) Poursuivez jusqu'à un croisement. Sur votre gauche se trouve l'œuvre « Saphira » (Claudia Comte, 2010). Empruntez le sentier balisé à droite et continuez plusieurs centaines de mètres. Voyez sur votre gauche « Solstice et systole » (Alain Domagala, 2009). Environ 300 m plus loin empruntez le chemin d'accès à « Diorama » (S.Pelletier/O.Ducet, 2014). Juste à côté, apercevez « 28 » (Simon Berheim, 2008). Poursuivez le sentier sur une centaine de mètres pour découvrir « 3x4-12 » (Miguel-Angel Molina, 2004) sur votre gauche.

(8) Marchez une centaine de mètres et arrivez à une intersection où se trouve « Two Thumbs up Monument » (Guillaume Pilet, 2009). Continuez tout droit jusqu'au prochain embranchement.

(9) À cette intersection prenez à droite et suivez ce chemin sur 300 m avant de descendre vers « ʁu.ba.to » (Amandine Arcelli, 2018). Revenez sur vos pas, allez à droite puis descendez tout en bas de la pente pour trouver « Renaissance » (Ryszard Litwiniuk, 1998) à votre gauche.

(10) Vous voilà sur un chemin blanc, tournez à gauche pour voir plus loin à droite « 7,5m² de frontière » (Aï Kitahara, 2004). Ensuite continuez quelques centaines de mètres avant de découvrir « Turbo Tango » (Julia Cottin, 2013) dans une ancienne petite carrière de pierres sur votre droite. Enfin, une centaine de mètres avant l'arrivée, arrivez sur « Laboratoire II » (Jean-Louis Hurlin, 2005), dernière oeuvre avant le retour (D/A).