Départ du parking Rue de l'Église, face à un hangar avec un panneau "Chocolat Lanvin".
(D/A) Depuis le parking, découvrir de l’autre côté de la rue, sur le mur latté du hangar, un panneau "Chocolat Lanvin" de François Curlet. Juste à sa droite, au sol, le totem "La Sentinelle" de Jef Gays'' (2014).
Tourner à droite dans la Rue de l'Église et tout de suite, pénétrer dans la cour d'une maison. Remarquer l'escalier à double volutes et la date 1773 sculptée au-dessus de la porte. À gauche, un bâtiment où dans la dernière vitrine se trouve une automobile "Corps d'Osier", création (2012) de Christian Ragot.
Tourner à gauche dans le petit passage où un cadre de porte s'ouvre sur un espace herbeux. Observer en face un oratoire avec dans l’alcôve, une petite Vierge placée dans une bouteille.
À droite, un sculpture (quatre losanges superposés) "All the Youg Dudes" (2012) de Neal Beggs et plus loin, une croix sur socle en pierre de Roussard.
Sortir du jardin par le bas et suivre la Rue de l'Église à droite.
Côté droit, trois œuvres se succèdent :
- une plaque émaillée "Sortir du romantisme et du fumier" (2011) de France Fiction,
- une fenêtre verticale double, bordée de rouge, intitulée "Baie d'archive" (1952-1954) signé le Corbusier/Prouvé et une composition de neuf rectangles colorés et/ou translucides dénommés par Jean Prouvé, "Panneaux de façade".
Côté gauche de la rue,
- le portail d'entrée du Moulin de Blaireau avec deux vantaux ornés chacun de roues en fer dénommé "Le grand Piggly Wiggly" (2015) de Stéphane Wigny.
Quitter la Rue de l'Église et continuer à gauche sur un sentier jusqu'à l'entrée d'un espace boisé et herbeux s'ouvrant à gauche (panneau d'itinéraires pédestres).
Sur ce pré, à gauche, une structure jaune et bleue intitulée "La Villa Motte" (2012) de Raphaël Galley. Sur la droite, deux structures "Villa Parmentier" (2010-2015) de Florence Doléac et de David Tscharner et dans l'axe du chemin, plusieurs structures en bois (sièges et tables) "Autoprogettazione" (1975) de Enzo Marie.
Rejoindre la rive de la Bienne.
(1) Tourner à gauche avant la petite passerelle. Passer à proximité de la structure composée de cannes à pêche "Le Coin du pêcheur", (1990) de Daniel Nadaud.
Traverser le champ jusqu'à l'espace clôturé derrière le Moulin de Blaireau où se trouve une table de béton "Unité d'habitation" (2012) de Neal Beggs, une structure blanche "La bulle à six coques" (1964-1968) de Benjamin Maneval, surmontée d'un pavillon flottant au vent "Proposition pour un nouveau drapeau européen" (2009) de Christophe Terlinden.
À sa gauche, une autre "maison futuriste marron et au fond un "Habitat Noir" équipé de deux couchettes (2020).
(2) Passer la rivière vers la cour du moulin où l'on peut découvrir "Parpaing" (2011) de Lilian Bourgeat.
Nota : lors des expositions temporaires, les œuvres sont disposées dans les salles basses du corps du moulin.
Regagner l'arrière du moulin. Sortir de l'enclos de bois noir et contourner vers la gauche le bosquet de végétation pour rejoindre et suivre la rive vers l'amont d'un des bras de la Bienne.
(3) Au niveau de la passerelle métallique, en contre-bas du ruisseau partant à droite, découvrir dans un cercle, un visage souriant intitulé "Stoned happy face" (2011) de Jocelyn Villemont. Juste en face, sur l'autre rive, un peu noyée dans l'herbe, se devine à peine une structure allongée et un banc en ciment intitulés "Obstacle" (2014) de Pierre Huyghe.
Revenir en arrière et regagner la passerelle sur la Bienne.
(1) Là, scruter attentivement à gauche dans les feuillages au-dessus du cours d'eau, pour découvrir, posée sur une branche, une petite chenille facétieuse dénommée "Suspens" (2009) de Hugues Reip.
Continuer dans le chemin montant. À droite, dans le pâturage, un If géant "Entre N. Hérisson et M. Duchamp"(2011) de Liliant Bourgeat ne semble pas perturber les bovins hôtes habituels de ces lieux. Continuer sur cet axe pendant 850 m pour atteindre en haut de la côte. L'oeuvre "un Poteau électrique" (2013) de Stéphane Vigny dont les alvéoles garnies de verres colorés se dresse majestueusement avec pour horizon un champ d'éoliennes.
Continuer sur 330 m jusqu'à une première composition en fer forgé, puis 560 m plus loin une deuxième. Ces deux œuvres intitulées "Complex Figures" (2020) sont de Charlie Youle et Brevis Martin.
Continuer la descente. Tourner à droite dans la Rue Saint-Julien. Au niveau de la Cour Saint-Julien, pénétrer dans cimetière entourant l'Église Saint-Julien. À découvrir sur la droite, une belle croix en pierre.
Contourner l'église et sortir en longeant le mur d'enceinte bas. Se diriger à droite sur le Chemin du Lavoir descendant vers la rivière Sarthe et l'aire de loisirs.
(4) Au lavoir et avec à sa droite une construction en bois abritant une table de pique-nique dénommée "La Villa Parmentier" (2011-2016) œuvre de Florence Doléac – David de Tsharner.
Revenir en arrière en remontant ce chemin jusqu'à la D338. Au carrefour, remarquer sur la façade en face, une plaque de cocher.
Traverser cet axe sur le passage piéton situé au dessus du virage et revenir au carrefour.
(5) Tourner à gauche vers la Place du Général Leclerc.
En contre bas de cette place, la mairie intégrée dans le logis médiéval dit "Du Gesclin". Accolé sur sa gauche, un ensemble en ruine dont un édifice gallo-romain heptagonal (en cour de restauration).
Rejoindre la place, longer le monument du Général Leclerc et la borne du Serment de Koufra avant de tourner à droite Rue Du Gesclin.
Après 350 m, au lieu-dit Noira, tourner à gauche dans le chemin empierré au départ puis se creusant progressivement. Au débouché, tourner à gauche Route le Haut du Bourg. À environ 100 m sur la gauche, en bordure d'un jardin, observer un four à chanvre.
Continuer sur cet axe pendant 420 m avant de tourner à droite (balisage Bleu/Blanc) sur la route (à droite vue sur le parc éolien). Parcourir 980 m avant de tourner à gauche dans un chemin empierré (balisage Bleu) et traverser les Aigremonts.
(6) Tourner à droite puis après 270 m, à gauche au carrefour suivant (croix). Suivre cette route où sur la droite, un très beau tilleul s'orne de "paires d'yeux". Cette œuvre baptisée "Mini Brothers, Chloropool" (2016) est de Vidya Gastaldon.
Au carrefour suivant, tourner à droite vers Chérancé (C3). Suivre cette route pendant 500 m avant de s'engager sur la gauche dans un chemin empierré qui, au niveau de la clôture, oblique à gauche et devenant rapidement un joli chemin creux descendant débouchant sur une petite route au niveau d'une croix en grès côtoyant un "siège en bois".
Tourner à droite et suivre cette route goudronnée sur 240 m puis suivre le chemin s'ouvrant à gauche, continuer sur 620 m. Au carrefour en Y suivant, tourner en angle aigu pour suivre le chemin à droite jusqu'au débouché sur une petite route que l'on suivra à gauche sur 360 m.
Au carrefour, (croix), tourner à gauche et suivre la Route de l'Écotay (D 129). Au niveau du corps de ferme, remarquer le calvaire et continuer sur cet axe tournant vers la droite avant de déboucher sur la D338.
(7) Longer la départementale vers la droite avant de la traverser (attention, danger !) pour s'engager, en face, sur la petite route.
Plus loin, à l'aplomb d'un chêne majestueux, une base ULM. Continuer sur cet axe pendant 2 km.
(8) Sur la droite de la route, au lieu-dit Saint-Léger, incluse dans un lieu privé mais autorisée d'accès lors des expositions, découvrir une structure en béton intitulée "Meurtrière" (2012) œuvre de Nicolas Milhé.
Pour l'atteindre, rentrer dans la cour, rejoindre à gauche la Chapelle Saint-Léger de Piacé. À son niveau, tourner à gauche et s'engager dans le champ où en contre-bas se trouve la sculpture. Revenir sur la route et faire quelques mètres à droite.
(9) Très proche de là, un drôle de petit bonhomme intitulé "Western" (2016) œuvre de Jacques Le Keeq, surplombe le village avec au second plan le champs d'éoliennes. Poursuivre la descente jusqu'au carrefour.
(10) À droite, en bordure du champ, un panneau perforé à dominante marron. Chercher l'angle (variable en fonction de l'éclairage naturel) afin de distinguer un magnifique bovin très justement baptisé "Vache", œuvre de Kenji Harai.
Tourner à droite vers le calvaire. À son niveau, de l'autre côté de la route, à l'angle du champ, une structure composée de tubes dénommée "Joli Turbin" est l'œuvre de Séverine Hubard.
Remonter la Rue de l'église.
(11) Au niveau de la salle municipale, tourner à gauche vers le parking. À sa droite s'ouvre un sentier débouchant sur une voie goudronnée. Sur la droite de cette rue, une cabine téléphonique dénommée "Rendez-vous", (2008-2017), œuvre de Anita Molinero. Poursuivre la montée jusqu'au carrefour orné de la "Grotte de nez" (2018) œuvre de Jean Bonichon.
(12) Tourner à droite Rue du Hameau de Saint-Léger. Continuer sur le cheminement piéton rejoignant la place bordant la D338. Là, deux barrières géantes sur la Place "Vauban" (2011) sont l'œuvre de Lilian Bourgeat. Descendre la départementale.
(13) À l'angle de la D338 et de la Rue de l'Église, sur la façade à gauche de la mairie, dans une petite niche, une maquette en Légo "Legoblaster" (2010) de Christophe Terlinden, au dessus, une plaque de cocher.
Descendre la D338 sur 300 m.
(14) La traverser au passage protégé afin d'atteindre Le Paradis, lieu-dit en aval du cimetière.
Sur la gauche de la route, s'engager dans le petit chemin descendant pour découvrir au bord du ruisseau une cabane intitulée "La cabane pour Jean Genet" (2009) œuvre de David M. Clarke.
Revenir sur la route. Un peut plus haut que le cimetière, dans un champ en contrebas de la route, une œuvre en devenir intitulée "Portable Garden" (1994-2019) de Lois Weinberger.
Revenir sur la D338 et la remonter jusqu'au n°9.
(15) Remarquer sur le pignon de la maison, une peinture murale (jaune-blanc-bleu) qui symbolise "La route d'or" œuvre de Jean-Baptiste Sauvage.
Continuer pour rejoindre à gauche la Rue de l'Église. Sur la façade du n° 4, un panneau "Je suis fou du chocolat LANVIN".
Rejoindre le parking (D/A).