Stationnement à la capitainerie du port de Santa Lucia à Saint-Raphaël.
(D) remonter tout le bassin Sud du port jusqu'à se trouver en face de l'îlot du Lion de Terre. Le sentier débute par un escalier qui rejoint une pinède. Prendre à droite quand on atteint le couvert, puis suivre le bord de l'eau au plus près pour passer au-dessous des premières villas. Après quelques acrobaties qui mettent en jambes, on atteint la Plage de Santa Lucia.
(1) Contourner par le sable le beau demi-cercle de cette charmante première plage et poursuivre par la rive opposée. Les passages rocheux sont continus sous des villas qu'on devine luxueuses, jusqu'à atteindre la Plage de Fournas, autre petit bijou sableux bien discret.
(2) Passer la Pointe des Cadéous qui ferme cette crique, pour déboucher sur une baie plus large, au fond de laquelle se love la Plage de la Péguière. Au passage, remarquer les vestiges d'un petit port privé.
(3) Après la Péguière, le rivage se fait moins anguleux. Le grès rouge qu'on y trouve est moins agressif que la roche qu'on foulait auparavant mais la progression est toujours sportive. Protégé par des barres rocheuses un peu distantes de la rive, le passage flirte souvent avec le ras de l'eau. Attention donc dans certains passages où il faut avoir un œil sur les vagues. Passer plusieurs ports privés, aux aménagements plus ou moins conséquents. Au bout de la succession de bancs sableux qui forment la Plage d'Arène Grosse, on débouche sur le petit Port de Boulouris.
(4) Longer le port puis passer la pointe derrière lequel il s'abrite. On alterne alors les secteurs rocheux et sableux, et la marche en est plus facile.
(5) Traverser la Plage de la Pescade pour passer ensuite sous de grands domaines boisés. Après la pointe qui ouvre vers l'Anse de Boulouris, on dépasse sans vraiment le remarquer, un petit pavillon blanc, posé sur le rempart qui protège la propriété voisine des assauts de la mer. Cette construction assez improbable mais très photogénique sera un repère sur une bonne partie du parcours à suivre. Il s'agit du Temple de l'Amour de la villa Terre Sauvage.
(6) Traverser la Plage de Boulouris, puis continuer dans les rochers pour contourner un minuscule port creusé dans la roche. Cheminer ainsi jusqu'à la Plage d'Aigue Bonne, puis celle de Garde Vieille.
(7) Il reste une pointe rocheuse à contourner pour aboutir à la Plage de Pierre Blave.
(8) Sortir de cette plage par la rue pentue qui la dessert depuis la route de la corniche, car au-delà de la pointe, le passage sous les hôtels de luxe n'est plus possible.
Prendre à droite en débouchant sur la route et la remonter jusqu'à la première à gauche. Passer la voie ferrée, et emprunter le chemin qui longe celle-ci vers la droite, juste avant l'entrée du camping.
Pousser sur ce chemin jusqu'à aborder le premier des étangs du Dramont.
(9) Cet étang ainsi que le suivant sont les vestiges des carrières de porphyre bleu dont on a fait les pavés de Marseille et de Gênes. Remonter la série de panneaux qui expliquent le site et ce que fut cette industrie, jusqu'à arriver à l'arrêt ferroviaire du Dramont. Dépasser la gare et emprunter le souterrain qui permet de rejoindre l'autre côté de la voie ferrée.
(10) Traverser la route littorale avec prudence et rejoindre l'esplanade commémorative du débarquement du 15 août 1944. Passer à gauche de la barge de débarquement pour descendre vers la plage, en passant sous un portique blanc.
(11) Une fois au bord de l'eau, continuer vers la gauche pour rejoindre le petit Port du Poussaï.
(12) Au bout du quai, emprunter l'escalier qui remonte depuis le bord de l'eau et déboucher dans un chemin qui remonte également à travers un bois. Au premier croisement, tourner à droite et suivre la piste qui entreprend l'ascension de la colline. Laisser partir à gauche le sentier qui file vers le sémaphore, et continuer tout droit jusqu'à atteindre le belvédère qui surplombe le Cap du Dramont.
(13) Passer le belvédère, et entreprendre la montée des lacets de la dernière rampe qui mène à un petit col entre sémaphore et antenne. Poursuivre ensuite en direction de cette dernière jusqu'à atteindre un bunker en béton. La vue s'ouvre alors sur la Baie d'Agay, vers laquelle se poursuit la balade.
(14) Revenir sur ses pas et descendre la piste qui part à droite. Passer un lacet puis laisser deux pistes sur la gauche pour continuer en direction de la Pointe de Camp Long, où l'on retrouve le voisinage de l'eau.
(15) À la pointe, prendre à gauche jusqu'à atteindre le parking qui surplombe la Plage de Camp Long, petit bijou bien abrité. Descendre sur la plage pour la contourner, et éventuellement s'y baigner, tant l'endroit est propice.
(16) Au bout de la plage, le sentier se prolonge au ras de l'eau pour dépasser la pointe qui ferme au Nord le goulet qui donne accès à la mer. Contourner les propriétés qui occupent cette pointe pour déboucher sur la route côtière qu'on retrouve alors. Suivre le sentier qui longe cette route jusqu'à la Plage du Pourrousset.
(17) Après cette nouvelle plage, suivre la route soit par le sentier qui passe en rive, soit plus loin sur le trottoir, jusqu'à entrer dans le village ancien d'Agay.
(18) Passer les quelques commerces qui s'y trouvent, puis à hauteur de la chapelle, qui se trouve de l'autre côté de la voie ferrée, descendre vers le minuscule port aux cabanes et bateaux colorés (A).