Entre l'Yvette et le Fort de Palaiseau

Le départ de la randonnée se fait au parking du Moulin de Lily.

(D/A) Dos au moulin, prendre en face l'Avenue du Moulin de la Planche jusqu'à son terminus. Traverser prudemment l'Avenue du Général Leclerc en empruntant le passage piétons sur la gauche avant de filer en face sur un chemin longeant une école. Bifurquer sur le premier passage à droite. Traverser la Rue Marceau pour arriver à la voie ferrée.

(1) Couper cette dernière en empruntant le passage souterrain pour arriver au Boulevard de Lozère. Prendre à droite, puis bifurquer à gauche au croisement suivant sur le Chemin du Dessous du Rocher. Trouver une impasse partant à droite et suivre cette dernière, puis le sentier qui la prolonge. En haut de la côte, bifurquer à angle aigu sur la gauche pour arriver au Fort de Palaiseau et ses deux batteries.

(2) Continuer tout droit pour contourner le fort. En rejoignant la route, poursuivre sur la gauche. Ignorer un premier croisement puis au deuxième, partir sur le chemin à gauche, Chemin de la Hunière. Rester sur ce dernier jusqu'à la limite des maisons de droite. Quelques mètres après la dernière, s'engager dans un sentier démarrant du même côté. Filer toujours tout droit jusqu'à la zone déboisée où se situe une fourche à trois branches.

(3) Partir sur la branche du milieu. Au croisement suivant, effectuer un droite/gauche, puis bifurquer de nouveau à gauche. Filer à droite en arrivant à la route (Chemin de la Vauve aux Granges) pour la quitter au virage.

(4) Prendre le sentier à gauche, puis suivre à droite celui qui ramène vers les habitations. Effectuer de nouveau un droite/gauche pour longer les bâtiments d'un cabinet infirmier. Traverser la Route de Saclay pour prendre en face dans une aire de jeu et de pique-nique. Obliquer à droite pour rester dans l'aire de jeu et aboutir à une avenue. Virer à droite et retraverser la Route de Saclay pour arriver à l'Éco-quartier Camille Claudel et la Place des Causeuses.

(5) Bifurquer à gauche. Continuer toujours tout droit jusqu'au bois et déboucher sur le Chemin de la Hunière et des Joncherettes. Tourner à droite sur le passage le long de la route. Quitter ce dernier pour entrer à droite dans le bois et le retrouver un peu plus loin sur la droite. Une fois que le passage s'éloigne de la route, continuer dessus jusqu'au croisement suivant.

(6) Bifurquer à gauche, toujours Chemin de la Hunière. Couper un chemin pour rester sur ce passage, puis au croisement suivant, bifurquer à gauche. Tourner encore à gauche à la fin de la rue puis à droite sur le premier passage, nommé Sentier de la Vallée Française. Continuer toujours tout droit jusqu'à la rue suivante, Rue du 11 Novembre 1918, et virer à droite. Obliquer à gauche au croisement suivant pour suivre le Boulevard Samson et passer sous la voie ferrée.

(7) Tourner à gauche sur la Rue Antoine Badour. À la fin, virer à gauche pour repasser sous la voie, couper la Rue du 11 Novembre 1918 et poursuivre en face pour arriver à l'Église Saint-Martin.

(8) Continuer tout droit. Au carrefour de la rue d'après, remarquer l'angle du château. Filer tout droit sur la Rue de la Pie Voleuse et serrer à droite au croisement triangulaire pour suivre le Boulevard Joseph Bara. Une fois au bout, tourner à gauche, puis virer à droite pour franchir le pont au-dessus de la voie ferrée et rejoindre le croisement suivant.

(9) Prendre à droite sur l'Avenue de la République au niveau du Théâtre de la Passerelle. Filer tout droit au rond-point pour arriver au parking, partir à gauche sur la Rue Voltaire et arriver à la Place de la Victoire et l'Hôtel Brière.

(10) Une fois de l'autre côté de la place, partir à droite sur la rue. À l'embranchement qui suit, continuer tout droit sur la Rue de Paris et remarquer la statue de Joseph Bara. Emprunter ensuite le premier passage à gauche, puis traverser le parking du 8 mai 1945 et retrouver la départementale (Avenue du 8 mai 1945) au niveau de la fresque Curie/Einstein.

(11) Aller à droite et continuer jusqu'au Parc Jean-Pierre Chabrol. Traverser ce dernier par le Sentier des Marais et ressortir Rue Blaise Pascal. Suivre cette dernière en virant à droite à angle aigu. Entrer sur le premier passage à gauche, Rue Amable Tastu, et continuer jusqu'à son terminus sur la Rue Lazare Hoche. Aller à gauche sur cette dernière pour déboucher Rue George Sand.

(12) Tourner à droite pour rejoindre le rond-point. Prendre sur la droite le sentier qui longe l'Yvette et rester le long de la rivière jusqu'à la rue. Prolonger jusqu'au croisement.

(13) Prendre à droite la Rue du Parc à Foulons, puis à gauche en arrivant sur les rives de la rivière sans la traverser. Continuer tout droit sur le Chemin des Foulons.

(14) Tourner deux fois à droite au niveau de l'aire de jeux et franchir l'Yvette. Au croisement, garder la gauche et rejoindre le point de départ (D/A).

(D/A) Les berges de l’Yvette :
La rivière, longue d’environ 50 km, tient son nom de sa source, le hameau de l’Yvette. Le chemin proposé passe à proximité de l’espace naturel sensible (ENS) des berges de l’Yvette. Vous pourrez en apprécier la flore et y observer de multiples espèces d’oiseaux, dont le héron cendré, hôte habituel des lieux.

(2) L’ancien fort de Palaiseau et ses deux batteries :
Le fort et ses deux batteries (de la Pointe et de l’Yvette) furent construits entre 1874 et 1879. Ces ouvrages s’intégraient dans un système de défense de la capitale établi par le général Séré de Rivières après la défaite de 1870. Le fort principal est, depuis 1947, occupé par l’Onera (Office national d’études et de recherches aérospatiales). La batterie de la Pointe, propriété de la Ville, fait à ce jour l’objet d’un travail de préservation.

(5) Éco-quartier Camille Claudel et Place des Causeuses :
Depuis mars 2022, « les Causeuses », statues de la sculptrice Iris Vargas, habillent la place du même nom au cœur de ce jeune éco-quartier créé dans les années 2010. En écho à Camille Claudel qui avait sculpté « les
Causeuses » en 1895, ces statues ont été choisies par les Palaisiens après un long travail participatif initié par le conseil de quartier du Plateau et de Palaiseau.

(8) Église Saint-Martin :
Aujourd’hui classée monument historique, elle fut bâtie aux XIIe et XIIIe siècles. Bien que le temps ait fait son œuvre, plusieurs éléments sont à observer : la crypte et le chœur. La nef a elle été reconstruite vers 1470 et le clocher en 1856. En regardant au-dessus du portail de style roman, vous pourrez y voir une statue de la Vierge. L’église abrite, en outre un retable en bois du XVIIIe et des peintures des XVIe et XVIIe siècles.

Peu après le (8) : la porte du château
Elle reste le seul vestige encore visible du château du seigneur de Palaciolo. Ce château, dont la construction aurait été achevée vers 1526, a appartenu au prince de Condé avant d’être détruit en 1802.

(9) Théâtre de la Passerelle
La halle initiale fut construite en 1930. Cette dernière avait pour vocation d’abriter les expositions florales de la « foire de fructidor ». Puis, elle vit ses côtés fermés pour devenir une salle des fêtes. Enfin, en 2016, à l’issue d’importants travaux de rénovation, la salle des fêtes fut transformée en théâtre où désormais, une grande partie de la vie culturelle de Palaiseau se développe.

(10) Place de la Victoire et Hôtel Brière :
Située au cœur du centre-ville, c’était la place de l’ancienne mairie (actuellement tribunal de proximité). Elle prit son nom actuel en 1919. Jusqu’en 1990, l’Hôtel Brière, situé à gauche, fut occupé par la gendarmerie. Propriété communale, il abrite aujourd’hui le Syndicat d’initiative et le musée palaisien du Hurepoix et il donne accès à la médiathèque George Sand, inaugurée en 1991.

Statue de Joseph Bara :
Elle fut érigée en 1881 en hommage à ce jeune Palaisien, fils d’un garde-chasse du prince de Condé et né au château en 1779. Engagé dans les armées de la Révolution, il perdit la vie à l’âge de 14 ans lors d’une embuscade en Vendée. Sommé de crier « Vive le Roi ! », il aurait crié « Vive la République ! ».

(11) Fresque Curie/Einstein :
Deux « géants » de la science sont immortalisés sur les murs de Palaiseau ! Le talent du graffeur artiste RAST a permis la réalisation en 2020 des portraits de Marie Curie et Albert Einstein, dans la lignée des fresques murales qui fleurissent à travers la ville. Où les admirer ? Ils sont situés entre le porche du 181 rue de Paris et le parking du 8 mai 1945.

Peu après le (11) : Parc Jean-Pierre Chabrol
II a été aménagé et inauguré en présence des filles de l’écrivain et conteur, en mai 2002. Palaisien, Jean-Pierre Chabrol a écrit, notamment, un roman intitulé Le Bout-Galeux.