La Batterie du Rosemont, ou improprement fort de Rosemont sur la carte IGN, est un édifice militaire du XIXe siècle situé sur la colline éponyme, dans la ville française de Besançon. Il s'agit d'une batterie de six pièces érigée à la hâte durant la guerre franco-allemande de 1870 afin de soutenir les positions de Planoise et de Chaudanne.
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La Roche d'Or
Départ à Besançon (Doubs)
Randonnée citadine pour découvrir les collines bisontines. Les facteurs naturels, sol, climat, altitude, associés à l'action de l'eau, ont façonné les collines de Chaudanne et de Rosemont, espaces naturels remarquables. Laissez-vous séduire par la beauté d'une nature préservée, nous prouvant que notre Besançon provincial a su rester une ville à la campagne.
Le sentier des cabordes
Départ à Besançon (Doubs)
Présentes sur les collines bisontines dès le XVIe siècle, ces constructions en pierres sèches sans mortier rappellent cette époque où les vignobles s'étendaient sur les coteaux. Une niche, un banc, un coin feu, elles permettaient au vigneron d'entreposer ses outils, de s'abriter en cas d'orage et peut-être d'y dormir une nuit, les portes de la ville se fermant tous les soirs à 22 h 45 jusqu’en 1875. En chemin, vous découvrirez pas moins de cinq belvédères et les forts du Rosemont et de Planoise.
Les cabordes du Rosemont
Départ à Besançon (Doubs)
Petite balade sportive pour grimper aux cabordes vigneronnes de la Combe des Œillets, ces constructions de pierres sèches sans mortier, où les vignerons entreposaient leurs outils et se mettaient à l'abri en cas d'orage et parfois y dormaient quand ils travaillaient tard. Retour par le point de vue du Rosemont sur l'amont de la vallée du Doubs et les monts jurassiens.
Le Rosemont
Départ à Besançon (Doubs)
Randonnée citadine, me direz-vous, mais qui pourtant, grimpant le Rosemont et la Roche d'Or, vous apportera son plein de nature à deux pas de la vieille ville et de la ville nouvelle avec ses sentiers de corniches escarpées, la si joliment nommée Combe de l'Oeillet, ses anciennes cabordes, ses pierriers provenant de l'altération naturelle des falaises et de l'entassement de pierres de nos anciens paysans, cultivant en terrasses nos monts bisontins.
Le Rosemont et la Roche d'Or par la Combe de l'Œillet
Départ à Besançon (Doubs)
Par les corniches du Rosemont, point de vue sur les collines bisontines surmontées de la silhouette massive et lointaine du Mont Poupet, vous grimperez aux cabordes vigneronnes de la Combe de l'Œillet, ces constructions de pierres sèches sans mortier où les vignerons entreposaient leurs outils et se mettaient à l'abri de l'orage. Vous redescendrez dans la vallée par ces pierriers provenant de l'altération naturelle des falaises et de l'entassement de pierres de nos anciens paysans cultivant en terrasses nos monts bisontins. Puis un dernier effort pour gravir la Roche d'Or et revenir par le Chemin de l'Œillet et ses maisons perdues dans la verdure de notre cité qui sait se faire campagnarde.
Les cabordes des Équegney
Départ à Avanne-Aveney (Doubs)
cf Info. De la mairie d'Avanne, vous grimperez vers des cabordes, ces cabanes vigneronnes en pierres sèches. Puis au Fort de Planoise, premier rempart de la cité bisontine, vous passerez en revue les batteries d'un pas militaire. Vous ferez halte aux belvédères superbes sur Besançon et ses collines, sur le sud de la vallée du Doubs et les monts jurassiens. Vous faufilant pas un petit tunnel à l'intérieur d'un fortin, vous pénétrerez dans un bois sauvage et moussu aux allures de forêt hantée.
De la Batterie du Rosemont au Fort de Chaudanne
Départ à Besançon (Doubs)
Grimpette sur deux des sept collines bisontines, Le Rosemont et Chaudanne à la beauté naturelle préservée, parcourant leurs pelouses sèches façonnées par la nature et les hommes, découvrant leurs fortifications et leurs points de vues sur la Citadelle, la vieille ville, Planoise et le Sud de la vallée du Doubs. Jusqu'au XIXe siècle, ces collines furent aménagées et cultivées. Des terrasses en murs de pierres sèches permettaient la culture de la vigne et le pâturage. Les cabordes, ces constructions en pierres sans mortier, rappellent cette époque où les vignobles s'étendaient sur les coteaux. Une niche, un banc, un coin feu, elles permettaient au vigneron d'entreposer ses outils, de s'abriter en cas d'orage et peut-être d'y dormir une nuit, les portes de la ville se fermant tous les soirs à 22h45 jusqu’en 1875. Le siècle suivant sera celui de l'abandon de ces espaces pentus, difficiles à travailler.
Autour du Fort du Rosemont
Départ à Besançon (Doubs)
Randonnée courte autour du Fort du Rosemont.
Les pelouses sèches du Rosemont
Départ à Besançon (Doubs)
Jusqu'au XIXe siècle, la colline de Rosemont fut aménagée et cultivée. Des terrasses en murs de pierres sèches permettaient la culture de la vigne et le pâturage. Les cabordes, ces cabanes en pierres, abritaient nos vignerons pour la nuit. Le siècle suivant sera celui de l'abandon de ces espaces pentus, difficiles à travailler. Découvrez, au cours de cette petite promenade sportive le long des corniches et des pierriers, les points de vue sur la vallée du Doubs et ce paysage façonné par l'homme.
Les belvédères du Rosemont
Départ à Besançon (Doubs)
Bonne petite grimpette pour se mettre en jambes vers les corniches du Rosemont et leurs points de vue sur l'amont de la vallée du Doubs, les monts jurassiens et sur la ville nouvelle de Planoise.
La Combe des Œillets
Départ à Besançon (Doubs)
Vous grimperez aux cabordes vigneronnes de la Combe des Œillets, ces constructions de pierres sèches sans mortier où les vignerons entreposaient leurs outils et se mettaient à l'abri en cas d'orage. Retour par les corniches du Rosemont et leurs points de vue sur l'amont de la vallée du Doubs et les monts jurassiens. À deux pas de la station "Rosemont" du tram, cette petite balade sportive vous prouvera s'il le fallait, que la cité bisontine est une ville à la campagne !