Randonnées Gensac (Tarn-et-Garonne)

Une randonnée facile, dans un cadre relativement sauvage. Pas de grosses difficultés et un itinéraire très bien tracé
Vous passerez au milieu des lacs collinaires réalisés pour l'irrigation. Des forêts de châtaigniers et de chênes.

Ce circuit est un mix de deux circuits parfaitement balisés.
Au départ, suivre les panneaux PR®5 circuit des Lacs et, à partir du (9), suivre PR®6 circuit des Potiers.

Boucle autour de Saint-Antoine, un village étape sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle entre Moissac et Lectoure, traversé par 15 000 pèlerins chaque année.

Ce circuit autour du village de Saint-Nicolas-de-la-Grave a sûrement été le terrain de jeu de Cadillac, aventurier gascon, né à Saint-Nicolas-de-la-Grave en 1658, fondateur de la ville de Détroit (USA). Sans information sur ses jeunes années à Saint-Nicolas, je suppose qu’il a pu fouler ces rues et chemins autour du village avant de s’embarquer pour la « Nouvelle-France » … Vous passerez entre-autre au pied de sa maison natale, du château, de l'église, du kiosque à musique et d'un ancien moulin.

Une randonnée à la portée du plus grand nombre, qui suit un PR® balisé en Jaune et des parties du GR® 65 signalé Blanc et Rouge. Tout ça, autour d'un des plus beaux villages de France.

Trente cinquième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape, vous entrez dans le Gers en Lomagne, ce pays de collines escarpées appelé aussi la Gascogne bossue. Cette région gastronomique connue de tous, la région du foie gras et de l'armagnac, est aussi une terre de capitaines avec ses châteaux, fermes fortifiées, redoutes, bastides, places fortes, etc. Qui ne connaît pas d'Artagnan !
Vous emprunterez de jolis sentiers tracés parallèles à la route qui sont bordés d'arbres fruitiers (pommes, poires, cerises, figues, noisettes) et de cyprès.

Jolies vues sur les coteaux autour de Malause et découverte de l'Église Sainte-Rose (XII et XIIIe siècle).

Boudou, petit village accueillant se trouve depuis toujours sur le Chemin de Compostelle. Dos au fleuve, vous irez cheminer au milieu des coteaux, naviguant autant sur les crêtes qu'au fond des vallons. Au cœur de ce territoire fruitier, vergers et vignes dessinent de vastes figures géométriques. Vous découvrirez aussi de petits lacs d'irrigation, des pigeonniers, et surtout la chapelle romane Saint-Pierre d'Ax (XIIe et XVe). (Extrait des sentiers d'Émilie dans le 82 de JP Siréjol).

Une randonnée qui hésite entre routes goudronnées tranquilles et chemins herbeux et qui traverse deux jolis petits villages, Bourret et Cordes-Tolosannes.

Le point de vue panoramique de Boudou permet de profiter de la confluence du Tarn et de la Garonne, des peupleraies et du plan d'eau de Saint-Nicolas en prenant un peu de hauteur.

Tout au long de cette randonnée, vous pourrez apprécier la multitude de pigeonniers, tous différents. Le sentier vous raméne à la bastide par les bords de la Gimone et se termine au lavoir.

En empruntant les sentiers jadis utilisés pour le commerce entre les différentes vallées, découvrez tout un remarquable patrimoine caché et secret qui vous surprendra, tel un coin de paradis.

Un peu de petites routes au départ et à l'arrivée, mais surtout beaucoup de passages dans les champs et les bois pour cette randonnée dans la campagne bouillacoise, en Tarn et Garonne.

Trente quatrième étape du Chemin de Compostelle. Pour cette étape de récupération, vous suivez les berges du Tarn, de la Garonne et du Canal de Golfech pendant 15 km. Après cette section, ce n'est quasiment que du plat pour arriver à Espalais. Une dernière petite côte sera, tout de même, nécessaire pour rejoindre Auvillar.

Le Burgaud, nom qui rappelle les bruyères couvrant autrefois son territoire, est une commune rurale où se forment les premiers coteaux de Gascogne. On a retrouvé les traces de six villas gallo-romaines sur le territoire du village. Celui-ci est créé en 1124 grâce au Seigneur Bertrand de Cobirac qui cède ce territoire aux Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui y tiendront une commanderie jusqu’en 1789. Le village alors fortifié est ramassé autour de l’église et de la maison forte des Commandeurs.

Une langue de roche crayeuse descend du haut Quercy jusqu'au portes de Valence d'Agen. Sur ce petit circuit, vous irez musarder par monts et par vaux. Vos pas fréquenteront quelques anciens lavoirs. Le premier, sous le village, possède encore ses bancs de pierre pour laver le linge. Les autres, à mi-parcours, de chaque côté de la route, sont envahis par la végétation ou les nénuphars. (Extrait des "sentiers d'Emilie dans le 82 de Randoéditions).

Depuis les hauteurs de Clermont-Soubiran, ce circuit descend au Sud dans la vallée de la Garonne avec la vue sur la centrale nucléaire de Golfech toute proche avant de remonter vers les collines de Rigou et d'Aureillac en passant par la vallée du Ruisseau de Néguevieille en alternant chemins et portions bitumées.

Voici une promenade de remise en jambes... mais pas seulement ! Il y a aussi quelques belles récompenses !
Au point le plus haut, la très belle vue sur la plaine et sur le Tarn qui s'étire en gracieux méandres entre Lizac et Sainte-Livrade. Et aussi une vue plongeante sur deux édifices d'âge respectable. Au point le plus bas, pour le retour, on bénéficiera de la fraîcheur apportée par le Tarn.

Le Burgaud, nom qui rappelle les bruyères couvrant autrefois son territoire, est une commune rurale où se forment les premiers coteaux de Gascogne. On a retrouvé les traces de six villas gallo-romaines sur le territoire du village. Celui-ci est créé en 1124 grâce au Seigneur Bertrand de Cobirac qui cède ce territoire aux Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui y tiendront une commanderie jusqu’en 1789. Le village alors fortifié est ramassé autour de l’église et de la maison forte des Commande.

Une boucle entre la plaine, aire de pique-nique de Saint-Jean-de-Thurac, sur le bord de la D 813 et le plateau de Saint-Romain-le-Noble avec trois belles montées.

Ce village typique de la région toulousaine avec son clocher-mur à pignon triangulaire et ses maisons de brique réunies autour de la place du village, doté d'un prieuré bénédictin en 940, fut ensuite propriété des Jourdain de l’Isle au XIIe siècle. L’église reconstruite au XIXe siècle avec des briques et galets en « sandwich » était sous le vocable de Saint-Orens, évêque d’Auch au IVe siècle. À cette époque, l’abbé Gilard immortalisait les visages des paroissiens sur les fresques de l’église.