La Belle à la Pierre, l'Étang Prérault et le plateau mellois

(D/A) Quitter le point de stationnement en empruntant le chemin du Chareuil vers le Sud. Le chemin longe des bâtiments à main droite, laisser à gauche l'impasse du Lavoir. Le chemin arrive aussitôt à une toute petite place ; laisser à gauche une route en descente et continuer à plat vers la route de la Pierre. Plus loin, laisser sur la droite le chemin des Chênes Verts en montée, puis un peu plus loin une rue sur la gauche qui dessert plusieurs habitations. Continuer sur la route de la Pierre en direction de la Duboiserie.

À ce niveau, laisser sur la gauche l'impasse de Taverne (Taverne étant un lieu-dit à quelques distances proche de la rivière Belle). Plus loin, laisser toujours sur la gauche l'impasse de Paillette

Peu après, franchir la rivière Belle. Sur la gauche de la petite route il y a un lavoir en bord de rivière et du côté droit on a une belle vue sur le Château de la Guittonnière (cf. rubrique Pendant la randonnée ou à proximité).
Au carrefour suivant, prendre à droite la route de la Taupinière en direction du lieu-dit le Vau. Au lieu-dit le Vau, la petite route franchit la Belle. Peu après laisser sur la gauche l'impasse de Sepvret.

(1) Au carrefour de routes en T, prendre à gauche la petite route de Bessac. Au moment où la route tourne à droite, laisser sur la gauche l'impasse des Trois Pas puis, un peu plus loin, un chemin d'exploitation en fer à cheval et en face un chemin d'exploitation sans issue (dessert une habitation).

Un peu plus loin laisser sur la droite l'impasse de la Belle. La route franchit peu après la Belle. Dans un grand virage vers la gauche, prendre à droite la route de la Scierie. Peu après, laisser sur la droite l'impasse du Gabaret, puis à gauche une route qui dessert plusieurs habitations. Laisser également un chemin sur la gauche un peu plus loin et continuer la petite route de la scierie qui serpente et franchit à nouveau la Belle.

Plus loin laisser un chemin d'exploitation sur la droite juste avant d'arriver au carrefour de la route de la Scierie avec la D740 reliant Périgné à Aiffres, via Saint Médard.

(2) Traverser tout droit la D740 et continuer sur le chemin des Bergères qui longe les maisons du lieu-dit Mazerolles. Attention, cette route est très fréquentée. Après la dernière maison laisser un chemin d'exploitation sans issue sur la gauche.

Plus loin, laisser un chemin d'exploitation sur la droite. Au carrefour de chemins d'exploitation suivant, laisser celui arrivant sur la gauche. Aussitôt après, le circuit arrive devant deux chemins d'exploitation en Y, prendre celui de droite.

Plus loin, laisser un chemin d'exploitation sur la droite juste avant un virage sur la gauche quasi à angle droit.
Le chemin d'exploitation se dirige vers l'Étang Prérault qu'il atteint après avoir fait un S.

(3) En arrivant auprès de l'étang, prendre le chemin d'exploitation sur la droite qui fait le tour de l'étang. Ce chemin arrive sur un large chemin d'exploitation bien dégagé qui arrive sur la gauche de la route D119 (Périgné - Vauballier) : tourner à droite pour aller en direction des champs.

Plus loin, le chemin d'exploitation vire vers la droite au niveau du Bois Rault. Peu après ce virage, laisser sur la gauche deux chemins d'exploitation à suivre. Un peu plus loin, le chemin d'exploitation débouche sur une route la D101.

(4) Tourner à droite sur la route D101 puis, peu après, à gauche dans le premier chemin d'exploitation, qui conduit au lieu-dit le Teil.

(5) Traverser la route D740 pour prendre le chemin d'exploitation Les Groies en face. Attention cette route est très fréquentée. Bien plus loin, laisser sur la gauche un chemin d'exploitation. Le chemin d'exploitation s'infléchit vers la droite et arrive à un carrefour avec une route

(6) Traverser la route pour continuer tout droit dans le chemin d'exploitation. Plus loin, il passe sous une ligne à haute tension puis contourne une tour, vestige de l'ancien Château de la Forge, avant de déboucher sur une petite route, la Rue de la Forge.

(7) En arrivant à la route, tourner à droite. La route longe à quelques distances la rivière Belle, descend légèrement puis passe sous la ligne à haute tension. Elle remonte ensuite en douceur vers le hameau de la Pierre.

A l'approche des premiers bâtiments, laisser sur la gauche, l'impasse du Lavoir. Un peu plus loin, dans un carrefour en T, prendre à gauche le chemin du Chareuil. Environ deux cent mètres plus loin, le chemin arrive au point de stationnement qui marque la fin de la randonnée (D/A).

Le point de stationnement se situe à la Pierre (près de Périgné) sur une petite place à l'angle du Chemin du Chareuil avec l'impasse du lavoir.

Cette randonnée sur des chemins variés nécessite d'être bien chaussé.

Périgné

L'église dédiée à Saint-Martin fut construite au XIIe siècle. Elle est classée Monument Historique par arrêté du 10 février 1913. Une inscription en latin visible à l'intérieur sur le pilier le plus rapproché de l'autel, au-dessus du chapiteau, fait état de travaux de restauration en 1620 :
PRIOR HANC ECCLESIAM RESTAVRAVIT ANNO DOMINI 1620 (le prieur a restauré cette église l’an du Seigneur 1620).

Château de la Guittonnière

Le fief de la Guittonnière appartenait au XVe siècle à la famille Roux, puis passa vers 1470 à la famille Rogier. En 1507, il changea de mains et entra dans la famille Berland, qui conserva la terre jusqu'en 1666, date à laquelle Françoise épousa son cousin, François Thibault, chevalier, seigneur de la Carte, à qui elle apporta ce domaine. En 1754, Louis Thibault de la Carte, marquis de la Ferté, le céda à Jean Baptiste de Bonneval, inspecteur général des manufactures du royaume. Il le vendit en 1771, à Jean Etienne Delavault, prieur-curé d'Amuré et à Louis Delavault, négociant à Niort. Le château est passée en 1909 à Madame Lagarde, légataire universelle d'Anaïs Delavault, puis aux familles Aumônier et Martinet. Il subsiste une belle tour imposante, couronnée de mâchicoulis et comportant un chemin de ronde. On remarque sur le crénelage le blason sculpté de la famille Berland. Elle est coiffée d'un toit conique en ardoises. Cette tour, très bien conservée, est reliée à un corps de logis, cantonné à son autre extrémité d'une tour tronquée dotée d'une tourelle d'angle.