La levée en Oules depuis Villevêque

Le point de stationnement se situe à côté de l'Engrenage.

(D/A) À la sortie du parking, prendre vers la gauche la Rue du Port (en direction du Sud-Est) ou le chemin qui la longe. Au carrefour avec la Rue du Loir, tourner à droite, passer devant l'école un peu plus loin, puis devant l'Église Saint-Pierre, à main droite, pour arriver au carrefour Rue du Loir (route D113) et la Rue Jean de Beauvau (D192) sur la gauche.

(1) Virer à gauche dans la Rue Jean de Beauvau, puis prendre la première rue à gauche qui fait rapidement place à un chemin d'exploitation. En arrivant devant un petit bois, peu après, bifurquer dans le chemin de droite qui contourne le bois en lisière à main gauche pour parvenir au bord du Loir et le suivre.

Plus loin, le chemin s'écarte un peu de la rive du Loir. Passer sous la ligne à haute tension et, au croisement de chemins suivant, prendre tout droit pour franchir, peu après, le Boire du Commun d'Oule (ruisseau) grâce à un pont. Le chemin regagne la rive du Loir un peu plus loin et le longe jusqu'à un croisement de chemins en léger contrebas de la D192. La rejoindre par le chemin d’exploitation.

(2) Tourner à droite et suivre avec grande prudence la D192 sur environ 350 m (le bas côté droit enherbé de la route est le plus praticable).
Bifurquer à gauche dans un chemin enherbé qui rejoint la route de Corzé. Y bifurquer à gauche pour la suivre prudemment sur une bonne centaine de mètres avant de virer à droite sur la petite route les Bouchets en direction du lieu-dit la Poulaillerie.

(3) Au niveau de la dernière maison de la Poulaillerie, sur le côté gauche de la route (ancienne gare ou maison de passage à niveau transformé en maison d'habitation), prendre, sous les arbres du côté droit de la route le chemin qui part dans le bois sur l'emplacement de l'ancienne voie ferrée Angers - la Flèche.
Plus loin, le chemin franchit le Boire du Commun d'Oule. Continuer sur l'ancien tracé de la voie ferrée jusqu'au moment où une route décrit un virage à angle droit à main droite (à 10 m environ).

(4) Partir à droite et suivre prudemment la route à droite, en direction du Nord-Ouest, jusqu'au premier croisement; Virer à gauche dans le chemin d’exploitation, passer sous la ligne à haute tension.
Au croisement de chemins en T, bifurquer à droite dans le chemin en lisière d'un petit bois à main droite, avant de tourner vers la gauche.

(5) Devant les plantations arbustives entourant le lieu-dit l'Oudinais, prendre le chemin à droite en direction du Nord-Est. Au croisement de chemins suivant en T, bifurquer à gauche dans le chemin qui, peu après, longe une haie à main droite avant d'arriver au Chemin des Vignes d'Oule.

Tourner à gauche sur le Chemin des Vignes d'Oule durant une centaine de mètres environ. Prendre le chemin de droite qui se transforme en route en parvenant au niveau de la maison de retraite à main gauche.
Contourner l'EPHAD les Couleurs du Temps. Continuer tout droit jusqu'à la Rue Jean de July (D113)

(6) Tourner à droite dans la Rue Jean de Rely, puis à gauche dans la Rue des Écoles.
Au début de la Rue des Écoles, traverser le parking à droite pour prendre le chemin, qui contourne des bâtiments à main gauche, puis suivre à droite la Rue Saint-Pierre qui débouche dans la Rue du Général de Gaulle en face de l'Église Saint-Pierre. Bifurquer à gauche et plus loin virer à droite Rue Neuve et rejoindre, tout droit, le point de stationnement (D/A).

Le point de stationnement se situe à côté de l'Engrenage.
Cette randonnée en terrain varié nécessite d'être bien chaussé.

Cette randonnée est balisée en Jaune. De plus elle emprunte une portion du GR^®35. En complément, il est conseillé de suivre les indications du descriptif et de la carte en y alliant une bonne lecture du paysage. Les points de passage (avec leurs coordonnées GPS et la distance depuis le point de départ constituent des aides pour le randonneur qui découvre le circuit.
Le parcours reprend celui des "Rives du Loir" proposé par l'Office de Tourisme d'Angers sur son site.

Villevêque
Le centre de la paroisse est attesté à l'actuel bourg dès le XIe siècle. S'y établit un manoir épiscopal qui devient le domaine de l'évêque (Villa Episcopi, Ville-Evêque). Le fief forme une châtellenie du domaine propre de l'évêché d'Angers.
Au XIIe siècle, le château forme une place forte. Il est par deux fois démantelé par ordre royal, et réédifié par l'évêque de Bueil. Le bâtiment est remanié au XVe siècle.
Les communes de Soucelles et Villevêque se regroupent le 1er janvier 2019 en la commune nouvelle de Rives-du-Loir-en-Anjou

Lieux et Monuments
Le château de Villevêque : C'est une maison forte qui fut la résidence épiscopale des évêques d'Angers. Hubert de Vendôme, évêque d'Angers mentionne cette résidence épiscopale dès 1025. En 1317, Guillaume Le Maire évêque d'Angers y prête serment au roi de France Philippe V. En 1428, Yolande d'Aragon donne mille écus à l'évêque Hardouin de Bueil pour reconstruire un nouveau logis. Jean de Beauvau, évêque d'Angers, fait reconstruire entièrement l'édifice entre 1448 et 1465. En 1791, le château de Villevêque est vendu comme bien national. Le domaine va revenir à une succession de propriétaires privés. En 2003, la ville d'Angers reçoit, par legs de son dernier propriétaire et donateur, monsieur Daniel Duclaux, le château de Villevêque et la collection d'objets d'art qu'il contient. La même année, est ouvert au public, le musée-château de Villevêque, rattaché au musée des beaux-arts d'Angers. Dans le musée-château de Villevêque sont exposés la collection particulière de l'ancien propriétaire des lieux.
L'Église Saint-Pierre, construction du XIe au XVIIe siècle, et le presbytère, construction des XVIe et XVIIIe siècles.
Les moulins de Villevêque : En 1292, mention de bâtiments en pierre, qui remplacent une édification en bois. Au XVe siècle, présence de trois moulins dépendant du domaine propre de l'Évêché : le moulin de froment, le grand moulin, nommé ainsi car possédant deux roues et situé à proximité d'une porte marinière aujourd'hui disparue, le moulin de guichet, à l'emplacement du port actuel et détruit depuis. Dès 1384, il est fait mention dans les archives d'un moulin à foulon, dit aussi moulin à fouler drap (de fouler des draps, dégraisser puis feutrer). On trouve également mention dans les actes de propriété d'un moulin à papier. Une meule à papier est actuellement encastrée dans le mur de clôture devant l'entrée du grand moulin.
Au milieu du XIXe siècle, on y compte trois moulins. Le moulin de guichet est acquis par la municipalité en 1855 pour établir un port (actuel port), un lavoir (disparu) et un abreuvoir ; moulin détruit en 1862. Principalement céréaliers, les moulins de Villevêque produisent dès l'origine de la farine de céréales (seigle et de blé). La production d'huile intervient dès l'origine des moulins et jusque vers 1930, en particulier le lin. Le botaniste Ernest Préaubert y remarque la présence d'une plante adventice d'origine russe, le Chenopodium ficifolium, et en précise la raison : « Ce moulin hydraulique fabrique de l'huile de lin avec des graines de diverses provenance qu'est issue cette chénopode étrangère poussée au milieu des déchets de fabrication ». L'utilisation du moulin de froment comme moulin à moudre s'arrête avant la Seconde Guerre mondiale. Le moulin devient une habitation. Entre 1993 et 1995, il est de nouveau exploité par la société Le moulin de Villevêque , puis la commune en fait l'acquisition en 1998 en vue de disposer d'une salle de réception. Des travaux sont effectués à partir de 2008 : restauration de la roue pour produire de l'électricité et aménagement de la grande salle à l'étage.
Le moulin s’explore seul ou accompagné d’un guide qui vous en dévoile ses secrets (tout l’été à 16h30). Toute l’année, une programmation satisfait les amateurs de culture : expositions, concerts, spectacles, films ...
Rens. 06 76 29 73 66 . (Visite libre 2 €, visite guidée sur réservation 3,5 € en 2022).
+ d'infos sur moulindevilleveque.fr
''Source : Wikipedia (extraits) et Office de Tourisme’'

Le site des Basses Vallées Angevines
Ce vaste domaine alluvial, prisé par les oiseaux est reconnu comme l’une des plus belles et plus riches régions naturelles humides d’Europe (Convention RAMSAR et Natura 2000).
En s’attachant à préserver ce patrimoine exceptionnel et fragile, Angers Loire Métropole et ses partenaires ont souhaité mettre en lumière ce territoire, d’où l’idée d’un GR® de Pays qui serpente les Basses Vallées
Angevines.
Cette boucle de 100 km est balisée Rouge/Jaune et le Topoguide des Basses Vallées Angevines vous donnera tous les renseignements.
Source : Office de Tourisme