Le Fort de l'Infernet

Prendre la route du Col d'Izoard, traverser le village de Font Christiane et au prochain carrefour prendre à gauche la route du Fort de Têtes. Se garer au parking du stand de tir.
(D/A) Longer le champ de tir sur sa gauche, prendre le sentier qui coupe la piste du fort du Randouillet. Retrouver cette piste et la prendre à gauche.

(1) Y rester pour contourner le fort et atteindre celui d'Anjou.

(2) Prendre alors à gauche le large sentier, zigzaguer en forêt jusqu'au carrefour de la route militaire et de la piste menant au baraquement de la Seyte.
Couper cette dernière par le sentier pour atteindre le baraquement.

(3) Laisser sur la gauche la piste du Clot de l'Infernet pour continuer sur la droite vers un grand bâtiment. Poursuivre direction Sud Est, atteindre un virage à épingle.

(4) Prendre le sentier qui mène à l'ancien baraquement de la Cochette.

(5) Emprunter direction Ouest le sentier qui dessert le Fort de l'Infernet.

(6) Descendre par la large piste de l'entrée du fort pour rejoindre le virage en épingle précité;

(4) Reprendre le trajet aller pour revenir au parking (D/A).

Pas de source sur le trajet. Les baraquements de la Seyte peuvent servir d'abri et le fort lui même peut vous accueillir pour une fin de nuit afin de vous permettre de profiter du lever du soleil en toute quiétude.
(3) Variante possible au baraquement de la Seyte : prendre la piste du Clot de l'Infernet. Au Clot prendre à gauche la large piste qui mène au Fort Dauphin puis au parking.

Bon ici c'est le domaine de l'histoire des forts, de la ligne Maginot, de la protection et de la surveillance de la frontière. On voit ici tout le travail militaire, il en a fallu des bras pour construire routes, murs, baraques, forts et téléphériques. Les téléphériques au nombre de 3 permettaient l'acheminement des denrées, des munitions. Le premier partait de la Schappe à Briançon et reliait le Randouillet. Le second, en 2 tronçons, allait jusqu'à l'Infernet avec intermédiaire à La Seyte. Le troisième au départ de Terre Rouge desservait la Cochette. Hormis celui de la Schappe il reste des vestiges des autres. Pour finir, L'Infernet et les lieux dits tout proches (Poët Morand et L'Eyrette) ont eu leur heure de gloire lorsque le 21 juin 1940 c'est d'ici que les batteries italiennes du Fort du Chaberton ont été détruites.