Photos de : Le grand Rougimont-Chte Turquestein-Roche aux fées
Ruine du château de Turquestein
On suppose la naissance du château vers 965. Sa position était particulière : élévation, escarpement, hauteur des murailles. L'approche était difficile et la forteresse était considérée comme imprenable.L'évèque de Toul en avait délégué la charge à la baronnie de Blâmont ( Ulrich II en 1002) mais les rivalités étaient incessantes avec l'évèque de Metz qui récupéra le château et ses terres en 1286. Durant ces trois siècles, l'activité aux alentours proches et dans la plaine était en pleine expansion. Les événements plus mouvementés qui suivirent ( jusqu'à la fin du XVI furent néfastes à cet essor - changements fréquents de propriétaires).Dès le début du XVII°, des bandes armées pillaient et incendiaient la région. Le château ne fut pas épargné et fut même détruit, sur ordre du cardinal de Richelieu, en 1634.
Il reste, aujourd'hui, un gigantesque pan de mur, quelques arches, un autel, des escaliers.
La Roche des Fées
La Roche des Fées est située dans un site particulèrement remarquable puisqu'elle se trouve non loin des ruines du château de Turquestein et de la Route d'Allemagne conduisant vers le Donon dès l'époque celtique, voire antérieurement. Promontoir rocheux unique dans le Massif Vosgien, présentant trois cavités soutenues par quatre colonnes de grès. Pour la radiesthologie, en médecine géodynamique, qui mesure les rayonnements bénéfiques ou nocifs d'un lieu à l'aide d'une règle, le géodynamètre, gradué de « - 50 » à « + 50 », la Roche des Fées émettrait un rayonnement positif d'indice 28.
Autel des prêtres réfractaires
Situé sur le promontoire du château de Turquestein, datant de 1797.
Abri des baronnies
Abri construit par le club vosgien de saint Quirin. Al'intérieur quelques explications sur les bornes qui jalonnent le sentier en amont.
Château de Turquestein.
Le mur subsistant du château. Il y a aussi quelques arches, un autel à voir...