(D/A) Au départ de l'office de tourisme de Saint-Jean-de-Sixt, contourner les courts de tennis par la droite et suivre le sentier qui surplombe la rivière, avant de descendre à droite vers la passerelle qui permet de la franchir. Sur l'autre rive, prendre le sentier à gauche qui part hardiment sur la pente.
Cinq minutes d'une bonne grimpette à travers bois et on atteint une prairie en lisière de laquelle on marche jusqu'à atteindre un chalet qui dû être très beau avant de devenir un dépotoir. Aussitôt après l'avoir dépassé, on atteint la route des Lombardes.
(1) Prendre à gauche, et descendre la route jusqu'à atteindre un ruisseau. Dépasser le lotissement qui suit son franchissement et tourner à droite pour remonter l'impasse de l'Ars jusqu'au dernier chalet. Un petit sentier la prolonge qui part à l'assaut du versant et le remonte en deux ou trois lacets.
(2) En atteignant une piste forestière (cote 1082), tourner à gauche, et la continuer jusqu'au bout. Au fond de la placette formée à son extrémité, continuer par la sente qui s'engage à gauche, direction Sud, à flanc de versant.
Après un cheminement assez impressionnant mais bien sécurisé au-dessus du ravin boisé, on arrive sur une autre piste qui débouche au-dessus des premières maisons de la Clusaz.
(3) En atteignant la route des Rifroids, descendre vers la gauche, à travers les chalets. Prendre à droite au premier carrefour, puis à gauche quelques mètres plus loin pour atteindre la patinoire. Le départ des télécabines est tout proche mais ne vous trompez pas de lignes, car il y en a deux.
(4) Il faut choisir celle de Beauregard. On atteint le plateau en quelques minutes sans autre fatigue que celle d'admirer le paysage qui s'ouvre sur la vallée des Confins et la chaine de Aravis.
(5) S'il vous en coûtera un peu plus de huit euros, cet intermède aérien permet d'annuler la principale difficulté de ce parcours, à savoir les six cents mètres de dénivelé, entre la vallée de la Clusaz et le plateau.
En sortant de la gare des télécabines, descendre la piste qui part vers la gauche. En quelques lacets on atteint la première ferme d'estives (vente de fromage) et on continue dans la descente jusqu'à atteindre le Nant des Prises, un des principaux ruisseaux qui évacuent l'eau du plateau.
(6) Cent cinquante mètres après avoir croisé le ruisseau (cote 1511), tourner à droite dans la piste qui remonte entre bois et pâturages. Elle remonte jusqu'à l'Aupt du Mont, un des chalets d'alpage qui parsèment le plateau.
(7) Alors que s'ouvre la vue sur la vallée qui aboutit à Thônes, on poursuit le chemin qui suit la rive du plateau. Laisser les pistes qui partent à droite ou à gauche (cote 1577) pour continuer en directions des chalets des Poutassets qu'on surplombe avant d'atteindre celui de la Vargne.
(8) Un fois ce chalet dépassé, on abandonne les larges pistes empierrées pour des sentiers beaucoup plus bucoliques mais qu'on doit partager pour la plupart avec les VTT.
Franchir la clôture et s'engager dans le bois en suivant la trace bien visible. Elle mène sans difficulté particulière jusqu'au-dessus de la ferme des Corbassières.
Continuer sur la crête en face, sur 700 m environ, avant d'entreprendre la descente peu avant le chalet de Parmis. Le sentier prend des allures de chemin creux avant de serpenter entre les arbres de part et d'autre de l'arête fortement en pente.
(9) On sort des bois pour atteindre un replat herbager au centre duquel trône le chalet de Parmis. Longer la lisière des pâturages, et poursuivre à gauche une fois le chalet dépassé, jusqu'à ce que la sente s'enfonce à nouveau dans la forêt, juste au-dessus d'une corniche rocheuse.
(10) À la première intersection de chemins, au-dessus des Écotagnes, prendre à droite et suivre le sentier jusqu'au prochain carrefour de chemins.
(11) À partir de cet endroit, la trace du sentier est fortement perturbée par la passage des VTT dont le freinage rabote la surface du sol, sur une largeur parfois importante. Il en résulte une difficulté à repérer le bon chemin, et à trouver un bon appui pour le pied. Du dernier poteau de balisage, partir vers la gauche, dans la pente, jusqu'à passer au voisinage d'un chalet. Le sentier s'infléchit vers la droite et, à la faveur du plat, retrouve un profil plus conforme. Mais rapidement, la pente s'accentuant, on retrouve les mêmes difficultés que dans la partie précédente. Suivre la trace tant bien que mal, en descendant pleine pente, à travers les bois. On finit par atteindre un chemin transversal, dans lequel on prend vers la droite.
Tout au long de cette descente, et depuis le dernier point de balisage, il faut garder en ligne de mire et sur la droite, la ligne de crête sur laquelle le sentier est sensé se tenir, selon la carte. En cheminant sur le chemin transversal, on finit par revenir sur cette arête, qu'on suivra désormais jusqu'aux Lombardes.
(12) Alors que la pente s'adoucit, on débouche de la forêt juste au-dessus des maisons des Lombardes. Le sentier s'incline vers la gauche pour les contourner en finissant d'achever la descente de l'arête. Lorsqu'on a dépassé les dernières maisons, tourner à droite pour revenir vers la route qui les dessert. On l'atteint au niveau d'un virage en lacet. Prendre à gauche pour continuer la descente, jusqu'à retrouver la maison dépotoir vue à l'aller. Prendre à gauche en sens inverse, le chemin par lequel on est monté, et le descendre jusqu'à la rivière. Une fois la passerelle franchie, il ne restera plus qu'à remonter le versant opposé, puis à prendre à gauche lorsqu'on atteint les premiers chalets de Saint-Jean. Les tennis sont tout de suite à droite et le point de départ juste derrière(D/A).