Le Pont de Coq et le lavoir

(D/A) Stationnement et départ place de l'église, se diriger à l'Ouest et prendre à gauche la Route de Haussez jusqu'à une patte d'oie.

(1) Laisser la route de gauche par laquelle on reviendra et tourner à droite, Route de la Mer.
Passer le calvaire et ignorer le premier chemin de droite. Plus loin, prendre à droite et poursuivre tout droit jusqu'au Pont de Coq.

(2) Prendre à gauche juste avant le pont, rejoindre la route au lieu-dit Brimbec. Traverser la route (D 16) avec prudence, continuer en face, le Chemin du Brimbec, légèrement décalé sur la gauche et poursuivre jusqu'au croisement en Y.

(3) Poursuivre à droite, Chemin de Vivière, jusqu'au croisement en T. Suivre à gauche la D156, Route de Gaillefontaine.

(4) Au 1^er croisement, tourner à gauche, Chemin de la Butte, passer le lieu-dit la Butte. Au croisement en T qui suit, prendre à droite et poursuivre jusqu'à une route.

(5) À la route, prendre à gauche, Route du petit Hautier - D130, jusqu'au croisement suivant. Prendre à gauche, suivre le virage à droite.

(1) Tourner à droite, Chemin du Lavoir. Prendre la première rue à gauche, Rue de l'Église. À l'église, prendre à droite et tourner à gauche aussitôt pour rejoindre le point de départ (D/A).

La commune jouit d'un lavoir.
Église Notre-Dame
Le Pont de Coq
Le château de Campulley (ou Campulay), dont il ne reste que les douves et les bâtiments de ferme, fut détruit dans les années 1840. Son origine remontait au Moyen Âge. Il resta dans la famille Thierrée de Campulley du XVe siècle jusqu'au décès de la dernière des Campulley en 1835. L'inventaire après décès de Messire Jacques de Campulley, chevalier seigneur de Campulley, Ménerval, Viviers, Saint-Ouen et autres lieux, ancien capitaine au régiment de Champagne, réalisé en août 1709 par Alexandre Mauger, sergent au baillage de Gournay, nous apprend que le château comprenait 21 pièces, dont deux "pavillons" et une chapelle. Les biens et meubles trouvés dans le château étaient estimés à environ 27000 livres tournois, dont 6500 livres en numéraire. Le plan cadastral de 1826 donne une idée de sa forme générale (mais l'annonce légale de sa mise en vente, parue au Journal de Rouen le 27 mai 1839 nous apprend qu'il était alors réduit à l'état de masure).