À la découverte de Néac : son histoire par ses vignobles
Un parcours qui vous invite à la découverte de cette commune habitée par les celtes de 3000 ans avant J-C, puis viticole aux alentours de l’an XX après J-C lorsqu’ils découvrent le premier cépage compatible avec leur climat. Le nom de Néac est d’origine gallo-romaine ce qui nous assure que le village est habité à l’époque. Une invitation à découvrir l'histoire de ces magnifiques châteaux et de leurs crus.
Depuis Libourne, prendre la D244 en direction de Montagne puis la D121 en direction de Néac. Se garer au parking près du vieux presbytère.
(D/A) Depuis le point de départ, prendre à droite en direction de l'église.
(1) Dépasser cette dernière. Descendre devant le vieux presbytère pour admirer la vue sur la Barbanne.
Reprendre ensuite la route pour arriver à un carrefour.
(2) Traverser la D12 et prendre en face. Attention prudence Présence d'une croix de mission datant de 1879. Prendre le chemin partant vers la gauche sur Montagne. Après une ligne droite, aller à droite vers le hameau Chatain. Il est possible de voir à gauche le Château Siaurac.
(3) Garder deux fois la droite en arrivant au hameau. Filer ensuite tout de suite tout droit dès la sortie du village. Continuer jusqu'au hameau de Chagneau.
(4) Prendre à droite. Apprécier en chemin la vue sur le Château Chambrun et l'Église Saint-Brice. Arriver à une route.
(5) Prendre à droite. À gauche se trouve le hameau Guadeleyrat. Dépasser les bâtiments de Ballet puis au virage, aller à droite vers Château Roussillon puis prendre la première à gauche. Rester toujours à gauche jusqu'à la croix de l'aller.
(2) Continuer tout droit jusqu'au point de départ par l'itinéraire inverse de l'aller (D/A).
Château Siaurac, classé monument historique, son jardin conçu par le paysagiste L.B Fisher célèbre par son travail dans le jardin public de Bordeaux (des arbres de 350 ans).
Château Tournefeuille, en 1850, Victor Tastet, d’origine landaise, fait l’acquisition du lieu et construit un ensemble vinicole parfaitement représentatif du « château bordelais » de l’époque, encore présent aujourd’hui. En 1874, Camille Decout, industriel charentais, reprend le Château Tournefeuille et poursuit le développement de sa renommée. Il parvient suite à plusieurs médailles et distinctions à obtenir la gratification de « Premier des Grands Crus de Néac ».
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