Randonnées Pla de Montcamp

Ascension de la crête frontalière avec l'Andorre jusqu'au très bel Étang du Rouch, comme déposé au pied du Pic de Font Blanca, en passant par le majestueux Étang de Gnioure et sa jolie et longue vallée :
- nombreuses cascades pendant la montée assez raide et très pierreuse jusqu'au pont de la Peyre ;
- petit passage en balcon très légèrement vertigineux pour accéder à l'immense Étang de Gnioure ;
- long sentier longeant l'étang puis le ruisseau et s'enfonçant dans la vallée ;
- montée à flanc démarrant assez soft pour finir bien raide jusqu'à l'Étang du Rouch.

En partie hors sentier ou sur des sentiers plus ou moins bien cairnés, cette deuxième étape du circuit nous fait découvrir des sites sauvages qui peuvent aussi devenir des départs de balades (Étang de Mille Roques, Plateau de la Unarde).
L'utilisation du GPS est préconisée pour faciliter le suivi de cette étape ! À éviter en cas de brouillard.

Première étape du périple dans la Haute-Ariège.
Par une très belle montée régulière arriver à l’Étang d’Izourt chargé d’histoire humaine.
Ensuite s’en suit une rude montée jusqu’à l’Orri de la Caudière.
La passerelle rustique franchie, de nouveau une très raide montée jusqu’au petit Étang du Fourcat.
La suite jusqu’au Refuge de l’Étang du Fourcat est plus confortable.
Montée très raide jusqu'au refuge du Fourcat avec une déclivité moyenne de 17%.
Attention : de l'Étang d'Izourt jusqu'au refuge, déclivité de 24%.

Découverte d’une partie de la haute-Ariège.
- Première journée difficile de haute montagne avec les étangs d’Izourt, du Fourcat. Nuitée au Refuge du Fourcat.
- Deuxième journée difficile de haute montagne pour rejoindre une autre vallée par les Étangs de Picot. Nuitée au Gîte d’étape de Mounicou.
- Troisième journée par le beau GR®10 qui passe par un refuge forestier et les crêtes.
- Quatrième journée difficile de haute montagne avec l’Étang Sourd et le Refuge du Lac de Pinet.

Cet itinéraire constitue une suite possible de la balade qui conduit au Port de Siguer (Étang Blaou et Port de Siguer postée par Johann 29) et permet de rejoindre Siguer en trois étapes.
Il se déroule pour partie hors sentier, dans le site magnifique de la Coume de Seignac, sous le Pic de Serrère.
Les paysages sont majestueux et d'une grande douceur car on traverse de larges étendues de pentes herbeuses.
L'utilisation du GPS est préconisée pour faciliter le suivi de cette étape.

Premier jour du séjour au Refuge du Rulhe.
Cette étape peut être classée difficile à cause de la montée au Col de la Didorte et du passage par la Crête des Isards.
Le cheminement se fait sur des chemins très bien marqués au sol, balisés ou non.
En cas de brouillard ou pluie : redoubler de prudence sur la crête entre le (4) et le (7).

La première journée en semi-boucle, consiste à monter aux Étangs de Bassiès.
La seconde journée est très sportive avec une déclivité importante qui permet d'accéder au Pic du Sarrasi.
La troisième journée avec un dénivelé conséquent, permet d'accéder au premier étang de Neych.

Très longue descente traversant les ravissants Étangs des Llassiès et la vallée de l'Étang de Peyregrand. Une première partie assez tranquille et idyllique en plateau permettant de visiter tous les Étangs des Llassiès. Puis une très belle mais difficile descente dans la vallée (Jasse de Bélesta) par une partie bien verticale avec cheminée herbeuse exposée, suivie d'un long et plat cheminement jusqu'au paisible Étang de Peyregrand et d'une descente plus engagée jusqu'à la Jasse des Planes. En dernière partie, un sentier plat jusqu'au Pont de la Peyre, puis une descente bordée de cascades, assez pénible car rocheux/pierreux.

Encore des étangs magnifiques au programme, avec en prime, une petite balade en télésiège côté andorran, pour reposer les jambes avant la descente sur L’Étang de Soulcem (Partie2), très éprouvante dans le dernier tronçon.

Deuxième étape du périple dans la Haute-Ariège.
Étape montagnarde difficile et longue (environ 7h), à entreprendre avec sérieux et en bonne condition physique.
Le refuge à peine quitté, s’en suit une très raide montée.
Un premier col franchi (2) (cote 2574), des rochers, des névés, une nouvelle montée et à un autre col (3) à 2640 m.
De cet endroit : passages délicats avec câbles et pas en acier fixés au rocher.
Puis le reste de la très éprouvante descente dans un magnifique paysage.