Sentier des Gabarots à Juvardeil

La découverte de Juvardeil commence par la rivière, hier facteur de prospérité économique, aujourd’hui cadre aménagé de détente et de loisirs. La balade se poursuit à travers le pittoresque bocage du Haut Anjou et s’achève sur les bords de Sarthe. Le Sentier des Gabarots permet de découvrir (ou apercevoir) la Gentilhommière de la Cadière (XVIe), le village de Cellières, le Manoir de la Poitevinière, la Fellière (XVIIIe) et la Grande Maison.

Fiche technique

25601295
Création :
Mise à jour :
Dernier avis :
  • Pédestre
    Activité : Randonnée Pédestre
  • ↔
    Distance : 16,88 km
  • ◔
    Durée moyenne : 4h 55 
  • ▲
    Difficulté : Moyenne

  • ⚐
    Retour point de depart : Oui
  • ↗
    Dénivelé positif : + 32 m
  • ↘
    Dénivelé négatif : - 41 m

  • ▲
    Point haut : 48 m
  • ▼
    Point bas : 17 m
  • ⚐ Pays : France
  • ⚐ Commune : Juvardeil (49330)
  • ⚑
    Départ/Arrivée : N 47.655405° / O 0.498957°
  • ❏
    Carte(s) IGN : Ref. 1521SB
  • Météo détaillée heure par heure
badge 2024

Pour continuer à proposer des fonctionnalités gratuites et pratiques en randonnée, soutenez-nous en donnant un petit coup de pouce !

Je donne un coup de pouce

Description de la randonnée

Se garer au parking en face de la mairie.

(D/A) Quitter le point de stationnement en partant vers la gauche pour traverser la Place de la Mairie et aller dans la Rue Neuve. Dans le virage vers la droite de la Rue Neuve, continuer en face dans la Rue de l'Hormeau. Voir une belle propriété sur la gauche, puis sur la droite après la Ruelle du Port aux Vignerons.
Tourner à droite juste après le coin de la propriété et aller vers la Sarthe.

(1) Au croisement de chemins,noter un panneau d'informations sur le parcours annonçant le point réel de départ. Virer à droite pour aller au bord de la Sarthe à travers les jardins.
Au coin de la Ruelle du Port aux Vignerons, continuer sur le chemin en rive qui longe la Sarthe.
Poursuivre ainsi jusqu'au croisement avec la Ruelle Louis Martin (seconde ruelle).

(2) Continuer en face dans le chemin qui longe toujours la Sarthe. Plus loin, le chemin tourne à droite dans une rue carrossable qui rejoint la Rue du Port Joret.
En y arrivant, virer à gauche et suivre la Rue du Port Joret, puis bifurquer dans une rue en biais qui mène à une rue parallèle à la Sarthe et la Rue du Port Joret. L'emprunter vers la gauche sur une cinquantaine de mètres avant de tourner à droite dans un chemin agricole empierré qui part en biais. Belle vue sur la Cadière à gauche.
Peu après le chemin s'oriente vers le Sud en virant vers la droite. Continuer jusqu'à la carrière et son grand étang que le chemin longe du côté Ouest.

(3) À l'intersection, prendre à droite la route vers la Ganerie. La route serpente et va rejoindre la D108.
Tourner à droite pour suivre prudemment la D108. Arriver à Mon Idée après avoir dépassé Lévèquerie sur la gauche.

(4) Virer à gauche dans le chemin enherbé avec des gravillons desservant la Fassière. Continuer sur le chemin en légère montée. Au croisement de chemins suivant, partir vers la droite pour rejoindre une route.
Bifurquer à gauche pour aller vers la Hameau des Cellières où se trouve un château à main droite. (cf. rubrique pendant la randonnée).
Dans le hameau voir les maisons de pierres. Au carrefour, tourner à nouveau à gauche dans une rue qui se transforme en chemin après les dernières habitations. Voir un puits du côté gauche au niveau du virage à droite à angle droit de la route.
Continuer sur le chemin empierré qui passe devant deux maisons isolées puis se dirige vers le bois.

(5) Juste après être entré dans le bois, à un croisement avec un chemin à droite, virer à droite et continuer le long du bois à main droite. Environ cinq cent mètres plus loin, tourner à droite dans un chemin agricole de meilleure qualité. Le chemin se dirige vers le Nord en direction d'une route.
Juste avant d'atteindre cette route, bifurquer à gauche en angle aigu dans un chemin qui s'en va vers le Sud-Ouest et rejoint un carrefour avec cinq routes et chemins dit Laroche-Planterose.

(6) Tourner à droite pour suivre la route qui commence par longer un lotissement sur le côté gauche. Après un virage vers la droite, virer à gauche, longer la propriété du côté gauche et bifurquer à nouveau vers la gauche dans un chemin qui va vers l'Ouest.
Le chemin arrive, un peu plus loin, près du hameau de Planterose. Le contourner par la droite jusqu'à un croisement de chemins en T.
Tourner à droite et continuer tout droit jusqu'à un croisement de chemins en X au niveau du lieu-dit le Bas Marais sur la gauche (grande ferme aperçu à l'Ouest un peu avant le croisement de chemins).

(7) Laisser le chemin à droite et celui de gauche pour poursuivre en face. Plus loin, par un gauche/droite, traverser prudemment une route et continuer dans le chemin plein le Nord.
Un peu plus loin, le chemin longe une grande parcelle de noyers à main droite. Le chemin fait place à une route.
Juste après le hangar, virer à droite dans un chemin agricole, puis une petite sente ombragée et aller jusqu'à la Gourie.

(8) Bifurquer à droite pour suivre un chemin PR®, passer le long de la propriété de la Fellière et continuer en face dans un chemin herbeux jusqu'à une route. Virer à gauche et suivre prudemment la route sur à peine une centaine de mètres, puis bifurquer à droite dans un chemin en légère descente qui rejoint le croisement de chemins en X passé précédemment.

(7) Laisser les deux chemins empruntés précédemment pour tourner à gauche dans le chemin PR® qui va vers la Gandonnière, vers l'Est. Poursuivre sur la route qui a remplacé le chemin pour passer à côté de la Petite Gandonnière sur la droite.

(9) Au moment où la route vire vers la gauche devant la grande exploitation agricole de Sainte-Anne, prendre le chemin de droite qui contourne, par le Sud, cette exploitation.
Le chemin arrive au lieu-dit le Bas Lucé. Tourner à droite sur la route qui va vers la Cornillerie.

(10) En parvenant à la route dite Rue de la Vieille Cure, la suivre en descente en pente douce vers la gauche (angle aigu).
Au moment où la route commence à remonter, partir à droite dans un chemin herbeux entre deux haies. Le suivre jusqu'à la Lande Judas juste avant la route D108.

(11) Au carrefour avec la route D108, présence d'un calvaire (à restaurer). Virer à gauche pour suivre prudemment la route D108, passer le hameau la Croix (maison isolée) et bifurquer à droite dans le premier chemin herbeux trois cent cinquante mètres environ après la maison isolée. Le sentier démarre une trentaine de mètres avant la Rue de la Poitevinière.
Le parcourir tout droit jusqu'à son débouché dans la Rue du Gravier. Virer à gauche sur une cinquantaine de mètres puis à droite dans la Ruelle Louis Martin. La parcourir jusqu'au bord de la Sarthe.

(2) Tourner à gauche et longer la Sarthe par le chemin inverse pris à l'aller.
En arrivant à la Ruelle du Port aux Vignerons, bifurquer vers la gauche, la parcourir puis partir vers la gauche dans la Rue de l'Hourmeau. Continuer en face en atteignant la Rue Neuve pour retrouver la Place de la Mairie et le point de stationnement (D/A).

Points de passages

  1. D/A : km 0 - alt. 28 m - Parking en face de la Mairie
  2. 1 : km 0.3 - alt. 19 m - Croisement de chemins - Sarthe (rivière) - Affluent de la Maine
  3. 2 : km 0.72 - alt. 19 m - Bifurcation commune A/R. Bord de la Sarthe
  4. 3 : km 2.56 - alt. 20 m - Chemin x route. Grand étang, carrière
  5. 4 : km 3.52 - alt. 22 m - Mon Idée
  6. 5 : km 5.04 - alt. 37 m - Chemin à droite dans le bois
  7. 6 : km 6.79 - alt. 45 m - Carrefour dit Laroche-Planterose
  8. 7 : km 8.97 - alt. 28 m - Croisement de la boucle
  9. 8 : km 10.91 - alt. 44 m - La Gourie
  10. 9 : km 13.28 - alt. 31 m - La Petite Gandonnière
  11. 10 : km 14.17 - alt. 36 m - La Cornillerie
  12. 11 : km 15.52 - alt. 23 m - Route de la Lande Judas x route D108
  13. D/A : km 16.88 - alt. 28 m - Parking en face de la Mairie

Informations pratiques

Le point de stationnement se situe sur le parking en face de la Mairie (où se trouve le Bar-Tabac Les Amandiers)
Accès : sortir d'Angers vers le Nord en empruntant la route D52. À Tiercé virer à gauche sur la route D74 et à Cheffes prendre à droite la route D108 jusqu'à Juvardeil.

Cette randonnée en terrain varié nécessite d'être bien chaussé.

Cette randonnée ne présente pas de réelle difficulté d'orientation car elle est balisée en Jaune. Elle emprunte le GRP® des Basses vallées Angevines du départ au point (8), puis un chemin PR® . Elle reprend le circuit "Sentier des Gabarots" dont la fiche est éditée par Anjou-Tourisme et l'Office de Tourisme de l'Anjou Bleu. En complément, il est conseillé de suivre les indications du descriptif et de la carte en y alliant une bonne lecture du paysage. Les points de passage (avec leurs coordonnées GPS et la distance depuis le point de départ constituent des aides pour le randonneur qui découvre le circuit.

Variante
En arrivant au point (7), tourner à droite sur le sentier de Promenade et Randonnée (PR®) et suivre le parcours directement vers la Gandonnière, sans faire la boucle Nord du circuit vers La Gourie. Le parcours est alors de 13,5 km

A proximité

Juvardeil
À l’extrémité Nord des Basses Vallées Angevines, harmonieusement lové le long de la Sarthe, Juvardeil, village
natal du marquis de Bonchamps et de Jean-Louis Pesch (auteur de Sylvain et Sylvette) a des origines plus que millénaire.
Le développement de ce village fut étroitement lié à cette rivière à péage. Au XVIe siècle, une porte marinière
permettait aux gabares de franchir les chaussées. Avec Nantes et Montjean, Juvardeil était le principal centre de construction de gros chalands de Loire, ce qui contribua à la prospérité du village. Ces chalands en bois de plus de 30 m de long assuraient le transport de céréales, pierres, chanvre et vin vers la Loire

La rivière à Juvardeil au début du 19e siècle
Si ce plan vieux de près de deux cents ans, montre que la forme du bourg de Juvardeil était très semblable à celle d'aujourd'hui, il met par contre en évidence que la Sarthe présentait à l'époque un visage bien différent de celui que l'on peut voir maintenant.
Juvardeil possédait encore son propre barrage. Une porte marinière permettait le passage des gabares et trois moulins à blé plus un moulin a tan tournaient, installés sur la chaussée du barrage (ce n'est qu'en 1850 que les écluses remplacèrent les portes marinières et que Juvardeil perdit son barrage et son moulin).
Quant à la Sarthe, face à la Cadière, elle se présentait plus comme un lac parsemé d'îles et d'îlots que comme une simple rivière. Un vrai paradis pour la promenade nautique qui, hélas, a disparu.
Corps vivant capable de mille changements, la rivière a été, au cours des siècles, modelée par les hommes qui l'ont domestiquée et mise à leur service. Son lit est aujourd'hui sage et contrôlé. Elle a perdu ses multiples bras, son allure sauvage et semble s'être endormie. Elle se réveille doucement chaque hiver pour recouvrir les prairies des Basses Vallées Angevines et dangereusement tous les dix ou vingt ans pour inonder villages et autres sites habités trop proches de son lit.

L’église Notre Dame
L’église paroissiale Notre-Dame, de style ogival, construite de 1857 à 1860 par les architectes Delestre et de Coutailloux, avec nef unique et vitraux.
Elle remplaça l’ancienne église démolie en 1855 car jugée trop petite et en mauvais état
Elle constitue le principal élément fort et incontournable de la commune, de par sa position et son clocher élevé surplombant la Sarthe.
Le clocher de l’actuelle église, endommagé par la foudre, dut être réparé en 1894.
L’église abrite deux objets inscrits sur la liste des objets mobiliers classés à l’inventaire des monuments historiques :
· La boîte aux Saintes Huiles en argent datant de 1779,
· Le reliquaire en métal datant du XVIIIe siècle.

Le Bâti en milieu rural
Village et Hameaux : une forme urbaine assez rare dans le paysage rural en liaison avec une urbanisation très ancienne.

Le village de Cellières (ancienne paroisse)
Le village de Cellières s’est constitué au XVIe siècle, autour d’un prieuré et d’un château à mi-pente sur le coteau rive droite de la Sarthe dominant légèrement la vallée. Les maisons présentent des volumes simples et sobres, imbriquées avec de nombreuses dépendances de taille variable.
Le prieuré domine par sa silhouette imposante, sans végétation d’accompagnement. Le château quant à lui se fait très discret grâce à une végétation d’accompagnement dense : double alignement signalant l’entrée, if remarquable au niveau de la façade orientée vers la Sarthe. La ferme du château offre une architecture particulière : volumes hauts et sobres délimitant une cour carré fermée par un « portail porche ».
L’ensemble bâti de Cellières présente une silhouette agréable et équilibrée jouant sur les imbrications de volumes et mis en scène par le relief et la végétation. Le château et la maison des domestiques dans la cour de Cellières sont inscrits à l’inventaire des monuments historiques.

La Bérodière – Les Aulnaies
Ces hameaux très anciens (XVI – XVIIe siècle) ont investi les bords de Sarthe. Ils présentent une urbanisation linéaire de part et d’autre d’une rue étroite et une architecture souvent sobre, animée parfois d’une maison de maître (ex : Les Aulnaies).
Dans ces hameaux, de nombreuses maisons sont restaurées. On note quelques nouvelles constructions (hameau des Aulnaies). Ils sont aujourd’hui noyés dans une végétation dense entre bocage et peupleraies.

Les Petites Landes
Le secteur des Petites Landes n’est pas à proprement parler un hameau regroupé et ancien. En effet, la juxtaposition de différentes époques de constructions sur ce secteur a favorisé un regroupement de maisons dans une structure urbaine lâche et éclatée.
On trouve aussi un habitat très sobre et ancien côtoyant une urbanisation beaucoup plus récente (environ 1970). Sur le plateau bocager, cet ensemble ne présente pas de silhouette.

Habitat dispersé : Cette forme d’habitat dispersé correspond à une économie agricole basée sur l’exploitation familiale ; pas de village mais des habitations isolées implantées au milieu des bâtiments d’exploitation, au cœur d’un maillage bocager qui les met en scène et souvent les valorise. Le territoire communal se caractérise par deux époques très nettes de construction et d’investissement du milieu rural.

Un habitat sobre et ancien
Les volumes sont sobres et de petites tailles. L’utilisation des matériaux locaux (grès enduits et ardoises) rend discret l’impact visuel de ces fermes anciennes, la palette chromatique assez sombre se rapprochant de la teinte de la terre.
Les corps de ferme ne présentent pas de forme d’implantation caractéristique mais plutôt une organisation aléatoire dépendant de l’implantation de la ferme et de sa taille. La juxtaposition de nouveaux bâtiments de stockage (type hangars) augmente considérablement l’impact de ces fermes, relais importants dans le paysage bocager.

Un habitat typé : fermes du XIXe (environ 1850)
Les volumes de ces fermes sont imposants aussi bien au niveau des maisons d’habitation que des dépendances et organisés suivant des formes urbaines géométriques en L ou en U. L’architecture typique de cette époque réalisée en grès enduit joue sur les ornementations de briques au niveau des façades, ouvertures et chaînages. Les ouvertures sont nombreuses et souvent travaillées avec notamment de nombreux arrondis soulignés par les briques.
Ces fermes principalement implantées dans le secteur nord (plateau ondulé bocager) constituent d’importants points d’appel et de relais visuel de qualité.

Les grandes propriétés de juvardeil
La Grande Maison
Dans le bourg ancien, la Grande Maison occupe une place importante dans l’axe de la Grande Rue. Une de ces façades, prolongée par le mur d’enceinte du parc, longe la rue de l’Hormeau et guide le cheminement vers la rivière. Son bâti assez sobre est noyé dans une végétation dense de parc, point d’articulation végétal dans le tissu urbain.

Le logis de la Poitevinière
Dans le centre bourg (à proximité du cimetière), le logis de la Poitevinière présente une architecture de qualité : petite tourelle dans l’angle d’un bâtiment en L. La propriété est cernée par un mur et mise en scène par un parc aux essences végétales caractéristiques (Magnolias notamment). La chapelle dédiée à l’Annonciation et fondée le 30 août 1536 est convertie en habitat. En 1857, durant la construction de l’église de Juvardeil, on y célébrait les offices de la paroisse.
Lieu de résidence de Charles de Bonchamps pendant les six premières années de son enfance.

La Gentilhommière de la Cadière
Construite au XVIe siècle dans le hameau de Port Joret, la gentilhommière domine la Sarthe et les prairies inondables.
Elle présente une architecture travaillée (tuffeau et ardoise) avec tourelle, de nombreuses ouvertures sur les façades.
Un bosquet de Pins marque l’entrée de la propriété.

La Bodinière
Le château de la Bodinière appartenait à François de Chaume et fut vendu en 1681, il appartenait à René d’Etriché. La propriété à proximité du bourg est soulignée par un haut mur d’enceinte et en bois dense. L’entrée est marquée par des piles en tuffeau et une grille en fer forgé (en mauvais état). Son volume est sobre, en tuffeau et ardoise. La toiture est animée de lucarnes ouvragées et d’une cheminée en briques. Cette propriété doit son impact paysager et sa fonction de point de repère à son vaste parc boisé.
Source : site officiel de la commune et Anjou-tourisme


 Soyez toujours prudent et prévoyant lors d'une randonnée. Visorando et l'auteur de cette fiche ne pourront pas être tenus responsables en cas d'accident survenu sur ce circuit.

Les balisages GR® et PR® sont la propriété intellectuelle de la Fédération Française de Randonnée Pédestre.

Avis et discussion

5 / 5
Sur la base de 2 avis

Fiabilité de la description
5 / 5
Facilité à suivre l'itinéraire
5 / 5
Intérêt du circuit de randonnée
5 / 5

Note globale : 5 / 5

Date de la randonnée : lundi 22 juillet 2024
Fiabilité de la description : ★★★★★ Très bien
Facilité à suivre l'itinéraire : ★★★★★ Très bien
Intérêt du circuit de randonnée : ★★★★★ Très bien
Circuit très fréquenté : Non

Nous aimons beaucoup ce circuit que nous pratiquons à toutes les saisons. Première avec Visorando.
Profitez des beaux jardins le long de la rivière au départ.
On peut y rencontrer chevreuils, écureuils et autres animaux.
Les chèvres du Four à Ban méritent vos caresses.
Ne pas manquer de parcourir au retour les rues de Juvardeil avec leurs plaques dessinées par l'auteur de Sylvain et Sylvette. (souvenir de lectures d'enfance).

Note globale : 5 / 5

Date de la randonnée : lundi 21 novembre 2022
Fiabilité de la description : ★★★★★ Très bien
Facilité à suivre l'itinéraire : ★★★★★ Très bien
Intérêt du circuit de randonnée : ★★★★★ Très bien
Circuit très fréquenté : Non

parcours très agréables entre bois et champs, très belles couleurs automnales.

Autres randonnées dans le secteur

badge 2024

Pour continuer à proposer des fonctionnalités gratuites et pratiques en randonnée, soutenez-nous en donnant un petit coup de pouce !

Je donne un coup de pouce

Pour plus de randonnées, utilisez notre moteur de recherche .

Les descriptions et la trace GPS de ce circuit restent la propriété de leur auteur. Ne pas les copier sans son autorisation.